Marche pacifique : Guy Marius Sagna, Amadou Ba, Ayib Daffé... dénoncent le génocide de Gaza

Ce samedi, le mouvement FRAPP (Front pour une Révolution Anti-impérialiste Populaire et Panafricaine) a tenu une marche pacifique à Dakar pour dénoncer le génocide commis par Israël à Gaza. Les manifestants ont également exigé le respect du droit international et le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.

La manifestation, autorisée, a débuté à 10 h avec un itinéraire partant de l’École Normale jusqu’au Rond-point Jet d’eau. Elle a rassemblé plusieurs figures politiques et de la société civile, parmi lesquelles : l’honorable député le doyen Ala Kane, Amadou Ba de Pastef, Guy marius Sagna, Omar Bamba Diop, et du président du groupe parlementaire Pastéf Ayib Daffé.

Les organisateurs ont appelé à une mobilisation citoyenne continue, ainsi qu’à une pression accrue sur les institutions internationales pour l’arrêt immédiat des hostilités et la mise en œuvre des résolutions de l’ONU.

La marche s’est déroulée dans le calme et la discipline, sous la supervision des forces de sécurité.

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4 commentaires

  1. Génération Gordjiguen ?

    Ce dimanche 24 août, le parquet de Créteil a annoncé requérir la mise en examen du principal suspect pour meurtres « au préjudice des quatre victimes » dans l’enquête concernant la découverte de quatre corps dans la Seine, le 13 août, à Choisy-le-Roi (Val-de-Marne). Dans une enquête publiée par Le Parisien, on en apprend davantage sur le profil de celui qui s’appellerait Monji mais qui se présentait comme Ahmed Ben Ali et sur ses victimes.


    Ces quatre personnes, toutes tuées en l’espace de seize jours, n’auraient sans doute pas été choisies au hasard, selon nos confrères. Ces meurtres apparaissent comme des actes réitérés, motivés par une hostilité envers les personnes homosexuelles, alimentée par la frustration intime du suspect et son interprétation rigoriste de l’islam mise en évidence durant l’enquête.


    Deux victimes connaissaient le suspect


    Le récit du Parisien est accablant et permet de comprendre que Monji connaissait les deux premières victimes : Abdallah, présenté comme « un copain de galèreé était un Algérien de 21 ans qui a disparu en premier le 26 juillet ainsi qu’Amir, Tunisien de 26 ans, qui a été le second à disparaître cinq jours plus tard, soit le 31 juillet. Les deux hommes étaient des SDF et vivaient la plupart du temps dans un squat en bord de Seine à Choisy-le-Roi, à quelques dizaines de mètres du lieu de découverte des corps.


    Ils y auraient fait la connaissance de Monji, avec qui ils seraient devenus amis, selon les informations du Parisien. En revanche, aucun lien n’a été établi avec les deux autres victimes : Sami, un Algérien de 21 ans résidant à Choisy-le-Roi, et Franz, un Français de 48 ans vivant à Créteil et dont les enquêteurs ont confirmé l’homosexualité. Ce dernier « pouvait fréquenter les abords du lieu de découvert des corps, connus pour être un lieu de rencontres homosexuelles éphémères », a précisé le procureur de la République, cité par TF1.


    Concernant ces deux derniers, leurs corps sont restés moins longtemps dans l’eau que les deux autres et leurs autopsies ont prouvé qu’ils présentaient des « lésions de violence, évocatrices d’une strangulation », « conduisant à retenir l’hypothèse d’un décès d’origine criminelle », a détaillé le procureur de la République.


  2. Babacar Seye

    Libérez les otages ke vous retenez à Rebeuss au lieu de faire du m’as tu vu. Ce n’est ke du cinéma ce ke vous faites


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