Maimouna Bousso détruit Bougane : « Quand un homme politique s’accroche au sac à main d’une Dame pour s’opposer à son mari… »

Sonko à cessé de sucé son choco baby maimouna khana dagno signe divorce. Lalagoule si PATHIO BI.

Khana iow boko tchi tong tong bi???

Il est con ce mec

Franchement le niveau est trop bas pour un homme qui ce dis qu » il veut être le futur.
président

La 2ème dame est encore une novice
Bousso t es à côté de la plaque
Le SEUL DE BOUGANE ET LE SEUL PROBLÈME DE DIOMAYE C’EST SONKO…

Tout à fait mme bouusso!! Le problème de bougane se résume à un seul mot: l’inculture. Que bougane se le tienne pour dit. Le Sénégal de Senghor n’est pas encore dans des dispositions à se laisser diriger par un leader de son acabit,fut il un capitaine d’industrie, pour présider aux destinées de la République. Il faut d’abord un prerequis consistant à avoir mouiller le maillot dans l’intellect c’est à dire une tête bien faite, à l’image de la plupart des éminents membres du gouvernement Diomaye/sonko qui ont tous la tête bien faite mais aussi bien pleine au regard de leur pedigree combiné à leur parcours académique et professionnel impressionnant. Toutes choses inconnues de ce monsieur venu en intrus dans la politique.Que Bougane s’évalue et s’analyse objectivement pour découvrir en toute honnêteté ses faiblesses et limites qui sont manifestes à vue d’œil au lieu de se bercer dans l’illusion. Ses frêles et grêles épaules supporteront difficilement la charge et le poids d’un Mammouth tel que l’Etat du Sénégal.
Pourquoi le pdt senghor s’est attelé à faire , de la culture, un moyen pour le développement et l’épanouissement du peuple. Le discours senghorien aconvaincu la communauté internationale, par sa pertinence. Il était bâti pour l’essentiel, autour des axes si dessous : le rapprochement entre les peuples et leur compréhension mutuelle sont facteurs de paix et de sécurité.
La connaissance réciproque des différentes cultures dans tous leurs aspects, intellectuels, spirituels, éthiques et esthétiques est le moteur de la paix
Aucune culture ne peut s’isoler des autres et que toutes les cultures doivent s’enrichir mutuellement et se féconder réciproquement, si on veut bâtir un monde de paix , de justice et de prospérité.
Dans la dialectique senghorienne , culture rime avec diplomatie et diplomatie avec développement. Souverainisme ne veut repli sur soi ou autarcie.
L’interdépendance a contribué au financement des projets concrets : barrages de manantali et diama , le statde d’embauche diop , université Gaston berger, école polytechnique de thies, vivier de nos meilleurs cadres techniques.
L’excellent partenariat noué puis renforcé avec la France avait fait notamment de l’université de Dakar, de l’hôpital principal, de l’institut pasteur , des références en Afrique, des pôles d’attraction par la qualité de leurs prestations.
Malheureusement il ne sait pas qu’il est à l’image des colonels putschistes qui ont berné leurs peuples pour se maintenir au pouvoir ets’y éterniser alors qu’ils n’ont aucune légitimité ni culture de l’état et de la république. Ils font de la démagogie populiste. Bref c’est des usurpateurs qui font feu de tout bois pour asseoir leur pouvoir d’état très chancelant ne pouvant les mener qu’à un cul de sac . Ils ne peuvent ni avancer et reculer.Les peuples des Etats de l’AES ont pris leurs peuples en otage qu’ils ont privés de tout, ils manquent de tout, surtout l’essentiel qui est la satisfaction des besoins animaux ou domestiques. Leurs peuples ont la peur au ventre, les lendemains se révélant de plus en pus dechanteurs. Comme les peuples ne méritent que les dirigeants qu’ils ont élus, il appartient à ces peuples maliens, burkinabés et nigériens d’apprécier la situation et d’en tirer les conséquences . Le hic pour ces pays, ayant le même dénominateur commun, c’est de prendre la France comme bouc émissaire attaquée à tout bout de champ . Alors que la France, pour tout ce qu’on en dit, est un mal nécessaire. On ne doit pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Nombreux sont les africains, atteints de pathologies incurables sous nos tropiques, s’empressent de se rendre dans les hôpitaux français où ils sont bien accueillis , complètement pris en charge sans bourse déliée . Sans compter les millions de ressortissants de ces pays dits de l’AES pullulant dans l’hexagone en quête d’un mieux être pour ne pas d’un eldorado inexistant à domicile. De surcroît en bisbilles avec leurs puissants voisins immédiats: le Mali s’attaquant à tout va à la puissante Côte d’Ivoire en affabulant avec les 49 militaires ivoiriens ,suspectés de déstabiliser le Mali , pris en rapt à l’aéroport de Bamako, une vue de l’esprit montée en épingle par un tapage et battage médiatiques sans précédent sans avoir à l’esprit que c’est la même Côte d’Ivoire qui abrite plus de 5 millions de maliens résidents dans ce pays d’hospitalité légendaire en quête du mieux être. Sans se dire que l’électricité consommée en grande partie au Mali est fournie par la Côte d’Ivoire. Il sy ajoute que l’Algérie, dont la capacité de nuisance n’est plus à démontrer pour avoir été le pionnier en matière de terrorisme, n’a pas échappé à la hargne et à la haine malienne. Au point que les accords d’Alger, pourtant ultime recours pour venir à bout de l’hydre terroriste est zappé et n’est plus d’actualité pour ne pas entrés dans les oubliettes . Qui plus est, le mentor des agitateurs et subversifs de tous poils qu’il peut mettre à contribution et téléguider pour faire mal . Il vaut mieux avoir un tel pays avec soi que contre soi. Sans compter sa puissance de feu combinée à sa puissance financière, militaire et géostratégique. Ensuite le jeune colonel Ibrahim Traoré ne sachant plus quoi faire emboîte le pas au colonel Goita en inventant lui aussi le même scénario: l’installation des forces déstabilisatrices en Côte d’Ivoire visant le Burkina. Ce qui est un non sens résistant difficilement à l’analyse . Ce jeune capitaine a tout intérêt à ménager son puissant voisin et bienfaiteur qui peut tout lui apporter pour avoir déjà hébergé la plus forte communauté de burkinabés en Côte d’Ivoire depuis belle lurette au regard des liens particuliers qui unissent ces deux pays qui formaient même la même entité depuis la nuit des temps. S’opposer à ce mastodonte en l’attaquant tous azimuts , s’apparente à un suicide. Tout sauf ça. D’autant plus Alassane outara a déclaré urbi et orbi qu’il est foncièrement opposé à toutetentative de prise de pouvoir par la force des baïonnettes et la destabilisation , surtout d’un pays voisin que tout lie, l’histoire autant que la géographie. De surcroît un pays comme la Côte d’Ivoire se révèle aujourd’hui le plus grand pourvoyeur du Burkina à tous points de vue. Alassane ouatara ne peut constituer qu’une bouée de sauvetage au regard de légitimité à tous points de vues: la légitimité populaire ou sociologique, technique doublée de son aura pour avoir été auréolé dans les grandes organisations financières internationales.
Enfin le Niger qui patauge dans la boue sans perspective d’en sortir. Il s’y ajoute qu’il voit le mal partout au point d’être paranoïaque. En témoignent ses démêlés de fraîche date avec le Bénin voisin qui a tenu en haleine toute la sous région en affamant son pauvre peuple qui a en ras le bol. Lui tout comme ses compères s’attaquent véhément à la puissante Nigeria, son fournisseur ou pourvoyeur en électricité et hydrocarbures sans compter les produits alimentaires pour un pays enclavé sans aucune ouverture sur le littoral. Quel non sens. Les motivations du coup d’état contre le Pdt bazoum fraîchement élus dont la gouvernance se révèle irréprochable au regard des clignotants et indicateurs économiques au vert, sont fallacieuses . Le général putschiste durcit le ton et s’enferme dans sa tour d’ivoire en faisant la menace pour se faire peur par la pratique de la politique du bâton.
Tous ces pays membres de l’AES ne conduisent leur pays que vers le précipice, sans aucune vision sauf des annonces en grande pompe sans effet. Où en est on de la création de la monnaie commune au rebours du CFA pourtant prevue dans l’année en cours? La compagnie aérienne commune, un autre éléphant blanc, sans moyens conséquents ni études de faisabilité pour des pays indigents qui se réclament souverainistes se passant allègrement de l’interdépendance, Pierre angulaire et socle de tout état, si puissant économiquement soit il , à fortiori des Etats Nains manquants de tout à domicile , qui plus est ne répondant plus aux critères classiques d’un état au sens international du terme. Des Etats que de non .Telle est la triste réalité communément partagée par le trio formant les Etats du Sahel abusant de l’ignorance et de la crédulité de leurs peuples , les pauvres,en exploitant leur bas instinct. Malamine drame