« Le Sénégal sauvé de la banqueroute et de la faillite : un master classe du Duo Diomaye-Sonko », (Amadou Ba)
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Si le Premier ministre Ousmane Sonko n’avait pas pris ses responsabilités d’annoncer notre dette à près de 100% de notre PIB, le Sénégal serait en banqueroute voire déclaré en faillite.
La FMI et nos créanciers allaient nous imposer des mesures d’ajustement insoutenables sur le plan social avec l’imposition de la fin des subventions notamment des dentées de première nécessité et de l’énergie, le gel des salaires et des recrutements de la fonction publique (éducation et santé notamment), la mise sous tutelle budgétaire et financière et des privatisations de nos bijoux de famille.
Nous courrions tout droit vers le scénario grec ou argentin.
La population comprend mieux le travail herculéen du gouvernement pour payer les salaires, soutenir les agriculteurs et les couches vulnérables.
Grace à la sincérité du Gouvernement, la confiance sur la signature du Sénégal reste intacte et plus que jamais rehaussée.
Une fois cette tempête financière contenue et bientôt dépassée en collaboration avec nos partenaires techniques et financiers, les premières retombées du PROJET seront bientôt visibles avec la mise en œuvre du Référentiel SÉNÉGAL2050.
Bédou magique
Devenez riche en sans aucun inconvénient et sans avoir le sang humain sur les mains . + deux cents vingt neuf 4 6 5 1 0 7 0 3.
Ferme la fraudeur du Bénin !
Pour garantir qu’aucun futur dirigeant sénégalais, en particulier dans une nation classée parmi les 125 pays les moins avancés, ne puisse détourner les biens publics et compromettre le développement du pays, des dispositions légales rigoureuses peuvent être mises en place. Voici quelques idées inspirantes basées sur des principes de gouvernance et de transparence.
Les nouveaux dirigeants du pays ont tous les éléments en main pour neutraliser les fossoyeurs de la République:
Les 6 priorités majeures
Loi pour rendre inéligible pendant 25 ans (voire 40 ans) tous ceux qui ont participé et/ou sont complices des détournements de deniers publics
Loi pour les juger et exiger le remboursement jusqu’au dernier centime de tous ceux qui ont participé et/ou complices à ce massacre financier
Loi pour la confiscation automatique de tous leurs biens en commençant par feu Moustapha Ba et des autres ministres des finances depuis 2019
Loi pour demander l’extradition de tous les fossoyeurs aujourd’hui exilés sous peine de rompre les relations diplomatiques avec les pays d’accueil
Loi pour exiger des peines lourdes 25 et plus pour tous ceux qui ont participé et ou complices de ces faits abhorrent.
Merci beaucoup le duo diomaye Sonko ndam rek Inchalla
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Sénégal
Ousmane Sonko et la manipulation des comptes publics : Une tentative grossière de réécriture de l’histoire
12 février 2025
Depuis son accession au pouvoir, Ousmane Sonko n’a de cesse de chercher à discréditer l’héritage économique laissé par Macky Sall. Son dernier coup de force : tenter de manipuler la présentation des comptes publics pour faire croire qu’il a hérité d’une situation financière catastrophique et marquée par des fraudes. Pourtant, une lecture attentive du rapport de la Cour des Comptes publié en février 2025 montre une tout autre réalité.
Si des anomalies comptables mineures ont bien été relevées, elles sont principalement des questions de classification budgétaire, mais en aucun cas des fraudes massives comme le clame Sonko. Pire encore, la Cour des Comptes, que Sonko instrumentalise aujourd’hui, avait elle-même validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans relever de falsifications. En cherchant à réécrire l’histoire, Sonko dévoile ce qu’il est réellement : un manipulateur populiste prêt à tout pour justifier ses propres échecs.
Une tentative de dissimulation derrière un écran de fumée
Lors de sa conférence de presse, Sonko a martelé l’idée que le Sénégal était en ruine, que les finances publiques avaient été saccagées par le régime précédent et que la dette publique était bien plus élevée que ce qui avait été annoncé. Pourtant, curieusement, le rapport de la Cour des Comptes ne mentionne absolument rien sur la dette extérieure, un sujet pourtant fondamental et scruté de près par le FMI.
Pourquoi cette omission ? Tout simplement parce que Sonko sait pertinemment que sur ce terrain, il ne peut pas manipuler les chiffres sans risquer une réaction immédiate des institutions financières internationales. Il se rabat donc sur des anomalies comptables internes, les grossissant jusqu’à les faire passer pour des scandales.
Les principales accusations qu’il avance reposent sur trois points :
Des « rattachements irréguliers » de recettes, qui ont pu légèrement fausser certains déficits budgétaires, mais qui restent des ajustements comptables courants dans la gestion d’un État.
Un sous-enregistrement des dettes et un surfinancement mal géré, point effectivement relevé par la Cour, mais qui n’a jamais été qualifié de frauduleux.
Une utilisation opaque des comptes spéciaux du Trésor, notamment le Programme de Défense des Intérêts Économiques et Sécuritaires (PDIES), dont les dépenses manquent de transparence, mais qui relève avant tout d’une gestion perfectible plutôt que d’un détournement massif.
L’instrumentalisation de la Cour des Comptes : un dangereux précédent
Le plus inquiétant dans cette affaire n’est pas tant le contenu du rapport que la manière dont Sonko tente d’en faire un instrument de propagande. La Cour des Comptes, en tant qu’institution indépendante, avait validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans émettre de réserves majeures.
Aujourd’hui, sous la pression du gouvernement Sonko, elle se retrouve contrainte de produire un rapport qui contredit ses propres conclusions antérieures. Plus troublant encore, ce document n’est pas signé, ce qui est une anomalie grave pour une institution de cette importance. Il est plus que probable que le président de la Cour des Comptes a subi des pressions considérables pour valider ce texte, alors que plusieurs membres de l’institution se sont désolidarisés.
En manipulant cette institution, Sonko envoie un message clair : il est prêt à tordre la réalité pour asseoir son pouvoir et justifier l’échec de ses premières décisions catastrophiques. Cette instrumentalisation est un précédent dangereux qui fragilise la crédibilité de la Cour des Comptes, et plus largement, l’ensemble des institutions de contrôle au Sénégal. Une Cour des Comptes qui se laisse dicter ses conclusions par le pouvoir en place n’est plus qu’un outil de propagande.
Un écran de fumée pour masquer l’incapacité du gouvernement Sonko à gouverner
Si Sonko s’acharne autant à noircir le tableau, ce n’est pas seulement par obsession pour Macky Sall. C’est surtout parce que son propre gouvernement s’enfonce chaque jour un peu plus dans la crise.
Les premières décisions prises depuis son arrivée au pouvoir ont eu des effets dévastateurs. La confiance des investisseurs s’effrite à vue d’œil, refroidis par une instabilité politique et des décisions économiques incohérentes. Sur le plan budgétaire, les finances du pays sont en grande difficulté, et ce non pas à cause d’un supposé passif laissé par l’ancien régime, mais bien par l’absence totale de gestion efficace depuis l’arrivée de Sonko au pouvoir.
Pire encore, le Sénégal subit une dégradation de sa note financière, conséquence directe des discours alarmistes et de l’incertitude économique générée par Sonko lui-même. En cherchant à diaboliser l’ancien régime, il affaiblit la crédibilité du Sénégal sur la scène internationale et met en péril l’accès aux financements nécessaires au développement du pays.
Plutôt que de passer son temps à remuer le passé et à multiplier les polémiques, Ousmane Sonko ferait mieux de prendre enfin ses responsabilités et d’affronter la réalité du pouvoir. Gérer un pays ne se résume pas à organiser des conférences de presse tapageuses ni à ressasser de vieilles rancœurs. Cela exige de la vision, du pragmatisme et surtout du courage politique – trois qualités qui, pour l’instant, semblent cruellement faire défaut au Premier ministre.
Sonko, ou l’art du populisme destructeur
La stratégie de Sonko repose sur une mécanique bien huilée : créer un ennemi, inventer un scandale et détourner l’attention de son propre échec. Depuis qu’il est au pouvoir, il applique méthodiquement cette recette, cherchant à faire porter à Macky Sall la responsabilité de tous les problèmes actuels du pays.
Ce populisme est d’autant plus pernicieux qu’il se nourrit de la colère et de la frustration d’une partie de la population, exploitant leurs inquiétudes pour asseoir son pouvoir. Mais la réalité est têtue : les accusations de Sonko ne reposent que sur du vent.
Le plus ironique dans cette affaire, c’est que plus Sonko tente de discréditer l’ancien régime, plus il expose ses propres failles. Son acharnement contre Macky Sall est un aveu d’impuissance : il montre que, six mois après son arrivée au pouvoir, il n’a toujours rien à offrir aux Sénégalais si ce n’est des polémiques stériles.
En fin de compte, le véritable scandale n’est pas celui qu’il prétend dénoncer. Le vrai scandale, c’est lui.
Pastef a le mensonge dans la bouche mais cela ne veut pas dire que Macky est un ange.
Macky Sall doit être mis hors d’état de nuire mais Pastef est dans le dilatoire comme si le protocole du cap manuel avait eu lieu.
Le Sénégal sauvé de la banqueroute et de la faillite : un master classe du Duo Diomaye-Sonko », (Amadou Ba).
Un master class versus une masturbation intellectuelle d’un laudateur en quête d’un fromage. Un internaute disait l’autre jour : feina fein ba patteu.
Liguey leine baayi fein yi feintef et sosstef
Le Sénégal sauvé de la banqueroute et de la faillite : un master classe du Duo Diomaye-Sonko », (Amadou Ba).
Un master class versus une masturbation intellectuelle d’un laudateur en quête d’un fromage. Un internaute disait l’autre jour : feins fein ba patteu.
Article pour les moutons
Les voleurs de l’argent public les mouton sont plus intelligents et c’est une honte nationale ce rapport de la cour des comptes qui dévoile de faux musulmans qui n’ont jamais eu peur de dieu et ont fait du mal aux sénégalais en volant pour leur propre compte l’argent public qui appartient à tous les sénégalais pour leur permettre de vivre mieux
Vous nous parlez de dieu vous autres. Waw
C’est tristre vraiment. Le bien mal acquis ne profite jamais