La véritable histoire de la mort de Ndongo Lô
L’on se souvient tous du célèbre chanteur de la banlieue Ndongo Lô qui a rendu l’âme, il y a de cela 10 ans. Dans son livre intitulé « La face cachée de Ndongo Lo », Déthié Fall a retracé les derniers jours de l’artiste et sa triste maladie qui l’a emportée.
Ce banquier multi-carte et Consultant international a, à travers des témoignages, inédits, des confidences, des interviews exclusives accordées par des proches, amis et famille de l’artiste, retracé les mauvais moments de l’artiste en passant par sa maladie jusqu’à son dernier souffle.
« C’est moi qui l’ait amené pour la première fois à l’hôpital. Il venait de s’effondrer, victime d’une crise, alors que nous étions ensemble. Il m’a averti : « je vais mourir », dixit Malick Diouf qui est revenu sur le premiers manifestations de la maladie de Ndongo Lô. C’était en 2002 poursuit -il, « je l’ai amené à l’hôpital Aristide La Dantec, après un crochet accompagné de sa femme , Adji Coumba Ndiaye. Le médecin nous a recommandé un guérisseur traditionnel » , révèle Déthié Fall .
Selon les personnes qui ont été à son chevet durant ces derniers jours dans ce monde, sur tous les guérisseurs qu’ils ont eu à rencontrer, la plupart d’entre eux lui avait prédit que Ndongo Lô allait mourir. Selon son chauffeur Omar Sow, ils ont passé treize jours en Gambie pour consulter un marabout que Aïda Thiam leur avait recommandée.
Mais ce dernier leur avait clairement dit : « celui là va partir ». Selon son ami Laniang , un jour sur la route vers Saint- Louis, Ndongo Lô lui avait fait une confidence : « Laniang, je ressens quelques choses d’étrange et je crois que je vais mourir, d’autant plus mon médecin le docteur Guèye, est parti à la Mecque ».
« Un dimanche, il m’a demandé d’appeler le tailleur Khadim Mbaye pour lui dire de ne pas mettre du « damina » dans son boubou de Tabaski. Il voulait être dans un caftan tout blanc le jour de la fête.
« Vérifie si Talla a fait tous les sacrifices. Assure toi aussi qu’on fait réciter le coran » m’a t-il rappelé. Il a prononcé « Lahilaha ila La. Allahou Akbar » avant de mourir » dixit Adji Coumbé la femme de Ndongo Lô.
Ainsi l’artiste rendît l’âme ce dimanche 16 janvier 2005 entre 14 heures et 15 heures, ce n’est qu’à 21 heures que son décès a été rendu public.
Mais pourquoi on n’a pas fait une autopsie pour voir la cause de la mort??
On diré com si kel’qun lui avait jetée un sor les sénégalais aime tros le maraboutage c abusé il on travaillait c salopare de galsene modit sois celui ki lui à fez du mâle mistiquement mois je c que c pape diouf ki a fez sa ndongo lo chanté mieux ke lui FIN :
Sidiki Diouf n’a rien compris de ce qui se passe ici-bas. Et le jour où il comprendra, ce sera trop tard pour lui de regretter.
SIDIKI DIOUF chacun aura son tour chez le coiffeur. Fékhé nite gni dila fatalikou si say dieuf you bakh mo gueune ngay diay niak téguine
Votre réponse à Sidiki est parfaite .
Tu etait un artiste Hors pair dote di une generosite epouvantable tu etais trop parfait pour vivre longtemps
Paradise est ton demeure
VOus nous emmerdez avec les histoires de N’Dongo LÖ. Il est mort et c’est tout
Tu es vraiment impoli irrévérencieux et incorrect ! Ton commentaire n’a pas sa raison d’être !
Yallah na aldiana firdaous done keureum
Rien de nouveau
que Dieu l’accueille en son paradis le meilleur de sa gnration.
Yalanako yalla yeureume te djiegualko te khareko aldiana barke serigne fallou ak werou razab bi;Amine
rip frere adouna dou dara bilahi