« La capitale sénégalaise est un lieu de croisement de la mode africaine… »

Après ceux de Dakar en 1995 et Kaolack en 1997, les membres de la Fédération Nationale des Professionnels de l’Habillement (FENAPH) avec les partenaires dans le secteur de l’habillement textile, tiennent un congrès extraordinaire au CICES.

« La capitale sénégalaise est un lieu de croisement de la mode africaine. Ville qui abrite plus de 51,7% des entreprises artisanales de toutes formes, selon le recensement des entreprises du Sénégal de l’année 2016 par l’Agence National des Statistiques et de la Démographie (ANSD), alors que partout ailleurs le niveau de l’emploi des artisans est inférieur à 10%« , constate le communiqué parvenu à Senego.

Ce congrès extraordinaire de la Fédération Nationale des Professionnels de l’Habillement est une occasion pour relancer les activités de la plus grande organisation professionnelle dans le secteur du textile-habillement au Sénégal. Un « lieu de rencontre, de réflexion, d’échange, de sensibilisation mais surtout de définition des stratégies de la FENAPH face aux problèmes d’emploi et de développement du secteur« .

Les premières éditions avaient permis à l’organisation de mettre sur pied les branches sur lesquelles la FENAPH a travaillé jusqu’à nos jours… Et malgré les difficultés rencontrées, la FENAPH « est toujours debout pour relever les défis actuels. Si les deux premiers congrès ont vu la participation de membres de différentes régions, l’envergure de cette édition semble être plus ouverte« .

Pour mémoire, la FENAPH est une association de personnes physiques et morales regroupant plus de 25.000 membres répartis à travers le territoire national au sein de sections régionales, départementales et d’arrondissements ainsi que de cellules dans la région de Dakar.