Il n’a pas abdiqué. Avec ses sbires et seconds couteaux, ils n’abdiqueront jamais, forts des sirènes encagoulées prêtes à entonner la musique des << droits >> de l’hommistes .
Le système les maintient en vie avec leurs besaces pleines et les rênes de l’administration qu’ils continuent de contrôler.
La 5ème colonne partira de l’Hexagone, Paris, dès la semaine prochaine a-t-elle averti, pour un ralliement insurrectionnel lancé par un corbeau blanc, depuis Paris, à la suite de l’appel sans détour de « boukki » qui dandine allègrement dans les rues de Dakar.
La justice doit être à l’avant de toute révolution qui n’est pas vouée à l’échec. Elle doit être une lance de fer dans un fourreau d’acier.
Tout État qui ne se dote pas d’une justice forte, qui ne traque ni ne réprime la délinquance et l’apologie de crimes, est un État destiné à l’effondrement.
Certains actes et certaines paroles ne relèvent pas du droit à la libre expression ou opinion, mais de l’apologie de crimes ou de délits qui doivent être immédiatement réprimés.
Une justice faible est une justice de compromission au détriment de la révolution qui doit s’attaquer à la contre révolution qui s’organise et s’enhardit, parce tolérée et encouragée par des acteurs de justice qui étaient inféodés dans le système prédateur des finances publiques, sanguinaire et corrompu.
Le Sénégal a vécu trois interminables années de répression sanglante, d’emprisonnements arbitraires, de tortures, de barbarie et de meurtres.
La justice avait été le bras armé de cette machine odieuse au service d’intérêts privés, de néo-colonialistes cleptomanes et de l’impérialisme occidental.
La plupart des organisations dites de défense des droits de l’homme ou de la société civile, avec leurs chefs d’orchestres, étaient aphones pendant que toutes les libertés étaient bâillonnées et embastillées.
Le Peuple Sénégalais ayant pris son destin en main, était parvenu avec le soutien, la participation active et indéfectible des panafricains, à renverser les tortionnaires et c’est ainsi que La jeunesse Sénégalaise enfanta dans la douleur une révolution inédite et encore inconnue de la science politique.
L’histoire enseigne que toute révolution est en danger par l’absence de prise immédiate de mesures radicales devant éradiquer l’ancien pour le remplacer par le nouveau système qui ne peut éclore avec des survivances du passé.
Le maintien de l’ordre ancien avec des remplacements timides d’hommes non essentiels, est un danger permanent auquel il urge de remédier, faute de quoi l’expérience Sénégalaise sera un désastre au lieu de servir d’exemple catalyseur vers la construction d’Etats véritablement indépendants et Souverains.
La justice contre révolutionnaire reste active et corrompue, les prédateurs de l’économie restent impunis et commencent à échapper à toute sanction pénale et pécuniaire, avec les mêmes juges et procureurs qui étaient impitoyables envers la population, et aujourd’hui trop mous en sanctions, la même administration compradore qui travaille intelligemment et méthodiquement à l’échec du gouvernement de Ousmane Sonko, n’ayant encore subi aucune purge.
L’exercice et la jouissance des droits civils et politiques, ne justifient pas les propagandes et rassemblements subversifs, encore moins l’appel à l’insurrection dans une société démocratique.
La justice qui doit être gardienne du nouvel ordre est restée sous le contrôle de l’ordre renversé et travaille à retourner les populations qui manquent de boussole contre leur propre camp.
La contre révolution s’est organisée, prête à l’assaut, et la réaction de l’Etat ne devrait pas être défensive, mais préventive et offensive.
Le pouvoir est pris, mais il n’est pas pleinement exercé, parce que les artisans de la révolution, cette jeunesse, sont laissés en rade .
Toute révolution non assumée et qui s’accommode de réformes non systémiques, sans éradiquer les fondamentaux du système déchu, est voué à un lamentable échec.
Le système n’est rien d’autre que cette administration qui est le levier qui fonctionne suivant les normes et paramètres mis en place par le colonialiste pour être servi. Cette administration est une entrave objective pour un changement radical et elle est entrain d’endiguer le processus révolutionnaire.
Le système doit être cassé, le pouvoir pleinement excercé et les commandes confiées à ceux qui avaient donné de leur liberté et de leur sang, alors qu’il est encore temps et que la contre révolution se prépare à l’offensive.
Certes des changements en profondeur sont en cours, mais ils devraient être accompagnés par une communication encore déficiente, pour être comprise , et la cadence doit être davantage accélérée .
Le tandem Sonko-Diomaye a l’onction de tout un peuple, la légitimité et la légalité.
Ce tandem a le devoir et l’obligation de réussite, pour le pays, pour l’Afrique dont le destin se trouve dans une unité organique et fonctionnelle.
Sonko et Diomaye sont interpellés. Le peuple Sénégalais qui leur a offert le pouvoir n’a pas baissé la garde et fera face à la contre révolution et à la 5ème colonne.
Bugs Bunny et Baffy Duck croient que la justice sénégalaise est un héritage de menteurs et de dévergondés sexuels.
Quiconque respecte sa mère et son père doit se dire que l’insulte qu’il m’adresse est exactement ce qu’il souhaite à ses parents.
Le Vrai.
avocat bii mom lan wara deff procureur de la république
Well said !
Ce n est pas la fleur au fusil qu on combat un système.
Trêve de conciliabules, trop d égards fait aux brigands, criminels qui i continuent à nous narguer ,et nous menacer.
A bon entendeur, salut.
TOUS CEUX QUI SONT DIRECTEMENT ET SOLENNELLEMENT INTERPELLÉS SE RECONNAITRONS.
ILS N’ONT QU’À RÉAGIR, SI CE N’EST PAS DÉJÀ TROP TARD.. !!!
Bien dit Maître