FSF / Diazaka vitupère Augustin Senghor et Abdoulaye Sow : « Il faut savoir partir à temps » (Vidéo)
Me Augustin Senghor est candidat à sa propre succession, à la quête d’un quatrième mandat de président de la fédération sénégalaise de football. L’annonce a été faite ce mercredi, par le site officiel de la ville de Gorée dont il est le maire.
Une candidature de trop, selon l’artiste Mame Goor Diazaka. Ce dernier, dans une vidéo déplore avec fermeté la longévité de Augustin Senghor à la tête de la fédération Sénégalaise de Football (FSF) ainsi que son vice-président, Abdoulaye Saydou Sow qui peine même à bien gérer son département ministériel.
mon frere il faut commencer par le commencement et le 3e mandat
Merci beaucoup mame goor,y’a pas plus menteur que cet imbecile de marionnette de augustin senghor
Notre football est accablé par cette bande de copains
Composée de truands descrocs et de loosers nous en avons marre de ces chiens de la fédération avec la complicité de ce ministron fumier du sport
Qui l’a envoyé? On doit commencer par renvoyer to maître de Ministre premier responsable de la situation dans laquelle se trouve le sport Sénégalais.
ki comme Guy il est dans toutes les sauces cet imbécile de espèce de chanteur
vraiment il son détesté
Seul au Sénégal on voit un maire président de Fédération de football.
merci de ton courage tu as dit tres haut ce beaucoup murmurait
Il est temps que la fédération Sénégalaise de football change de visage et que de vrais connaisseurs prennent la suite. Personne n’est indispensable dans cette fédération…12 ans c’est largement suffisant !
Vive le changement !
Il faut commencer par le commencement : le ministre, le président de la fédération et l’entraîneur. D’autres sénégalais sont là pour faire le boulot et mieux qu’eux. Mais tout cela c’est le président Macky SALL qui laisse faire. Au mois de mars nous croyions qu’il avait bien compris sa jeunesse mais hélas il n’a rien compris. Comprendre la jeunesse c’est faire partir ceux qui ne font pas de bons résultats dans les ministères, les directions et autres instances. La deuxième vague risquerait de l’emporter. Et ce sera vraiment dommage.