Le Conseil des Diffuseurs et Éditeurs de Presse du Sénégal (CDEPS) a exprimé sa vive opposition ce lundi 3 novembre concernant la gestion du Fonds d’Appui et de Développement de la Presse (FADP). L’organisation patronale accuse le ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique d’enfreindre la loi suite à la réouverture de la plateforme de déclaration des médias.
Selon des informations rapportées par Emedia, le CDEPS dénonce le fait que cette réouverture se soit faite sans la publication d’un communiqué officiel ou d’un avis préalable destiné aux entreprises de presse. Cette démarche, qualifiée de « cavalière » par l’organisation, serait marquée par « le mépris et le manque de transparence ». Les modalités et la durée du processus d’enregistrement des bénéficiaires potentiels n’auraient pas été précisées.
Au cœur de la contestation se trouve le non-respect des textes en vigueur. L’organisation patronale rappelle que le décret n°2021-178 du 27 janvier 2021 impose la convocation d’un Conseil de gestion avant toute décision sur l’attribution du fonds. D’après le CDEPS, cet organe essentiel a été délibérément mis « en veilleuse » par la tutelle ministérielle.
Le conseil s’inquiète également du calendrier choisi pour lancer la procédure, à quelques jours de la clôture de l’exercice budgétaire de l’État, alors que le processus d’attribution prendrait habituellement plusieurs mois. Un autre point de friction est l’exigence nouvelle de présenter des projets pour bénéficier du financement. Le CDEPS estime que cette condition ignore les difficultés économiques urgentes de la presse privée, confrontée à des arriérés de salaires, des charges sociales et fiscales, ainsi que des loyers impayés.
Pour le CDEPS, cette méthode vise à placer les acteurs du secteur devant le fait accompli. L’organisation a annoncé son intention de saisir les instances compétentes et d’engager les actions légales nécessaires pour faire valoir les droits des entreprises de presse. Elle réclame le respect de la loi et l’application de procédures transparentes et équitables dans la gestion du FADP.

Au nom de quel principes on doit donner l’argent qui appartient a tout le peuple Senegalais a des groupes de presse pour payer des arrieres de salaires, des loyers?
Pourquoi ne pas faire la meme choses aux autre groupes creer par des Senegalais et dans les autres secteurs? CE NEST PAS A L’ETAT DE FAIRE GERER DES SOCIETES DE PRESSE CREER PAR DES PRIVEES. CEST PAS LA VOCATION DE L’ETAT ET CE N’EST PAS JUSTE PAR RAPPORT AUX AUTRES SENEGALAIS DANS LES AUTRES SECTEURS. AU NOM DE QUOI ON DOIT DONNER L’ARGENT DES SENEGALAIS A DES ENTREPRISES PRIVEE? CE NEST PAS NORMAL ET CE NEST PAS JUSTE.
Au nom de quel principes on doit donner l’argent qui appartient a tout le peuple Senegalais a des groupes de presse pour payer des arrieres de salaires, des loyers?
Pourquoi ne pas faire la meme choses aux autre groupes creer par des Senegalais et dans les autres secteurs? CE NEST PAS A L’ETAT DE FAIRE GERER DES SOCIETES DE PRESSE CREER PAR DES PRIVEES. CEST PAS LA VOCATION DE L’ETAT ET CE N’EST PAS JUSTE PAR RAPPORT AUX AUTRES SENEGALAIS DANS LES AUTRES SECTEURS. AU NOM DE QUOI ON DOIT DONNER L’ARGENT DES SENEGALAIS A DES ENTREPRISES PRIVEE? CE NEST PAS NORMAL ET CE NEST PAS JUSTE.