Examen projets de loi et Dgp de Sonko : Les députés en plénière le lundi 09 et vendredi 13 septembre 2024…
Les parlementaires ont été convoqués le lundi 09 et le vendredi 13 septembre 2024, en séance plénière.
Ainsi, pour le lundi, est attendu le ministre de la Justice pour l’examen du projet de loi n°03/2024 relatif à la Commission nationale des Droits de l’Homme (CNDH), à 10 heures.
A 16 heures, le même jour, le ministre de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères fera face aux députés qui examineront le projet de loi n°01/2024 autorisant le Président de la République à ratifier la Convention de l’Union Africaine sur la Coopération transfrontalière (Convention de Niamey), adoptée à Malabo, le 27 juin 2014.
Et le vendredi, le Premier ministre Ousmane Sonko sera à l’Assemblée pour sa déclaration de politique générale (DPG).
Le PM ne devra pas se rendre a l’AN car les debats seront d’une bassesse criante avec coura macky (da gnou koy firire) et autres. Il faut dissoudre cette assemblee
Les « députés insulteurs » de la république ne nous représentent pas.
Le député, par définition, est un représentant du peuple. Il doit incarner les valeurs républicaines et être un modèle pour ceux qu’il représente au sein de l’Assemblée nationale.
Pourtant, au Sénégal, une frange notable de ces élus semble avoir perdu de vue cette mission fondamentale. Ces députés, notamment ceux de la coalition Benno Bokk Yakaar, apparaissent de plus en plus comme des défenseurs acharnés de leurs intérêts personnels, plutôt que des porte-voix des citoyens qui les ont élus. Cette attitude témoigne d’une ingratitude flagrante envers les électeurs et d’un mépris pour l’intérêt national.
Le spectacle offert par ces députés, notamment ceux de Benno Bokk Yakaar, ne peut qu’inspirer le dégoût. Leur comportement en plénière à l’Assemblée nationale ne cesse de choquer. Au lieu de s’engager dans des débats constructifs et d’échanger des idées pour l’avancement du pays, ils préfèrent sombrer dans les invectives et les insultes, principalement dirigées contre le Premier ministre Ousmane Sonko et le nouveau gouvernement.
Il est clair que l’Alliance pour la République (APR) de Macky Sall, désormais dans l’opposition, tente d’utiliser l’Assemblée nationale comme un instrument de vengeance après leur défaite à l’élection présidentielle de mars 2024. La majorité des Sénégalais ne s’y trompe pas et réclame avec insistance la dissolution de cette Assemblée nationale dès le 12 septembre 2024, date à laquelle la Constitution le permet.
Bien que le président Bassirou Diomaye Faye ait fixé la date de la Déclaration de politique générale (DPG) au 13 septembre 2024, cette session doit impérativement se tenir sans ces « députés insulteurs ». La dissolution de l’Assemblée nationale la veille garantirait que ces élus qui se comportent de manière indigne ne puissent plus insulter le Premier ministre lors de sa DPG. Leur objectif manifeste semble être de saboter toute tentative de débat sérieux en détournant l’attention vers des querelles stériles. Leur incapacité à défendre les intérêts nationaux est évidente, de même que leur refus de participer au débat d’orientation budgétaire, pourtant essentiel avant la DPG.
Pourtant, le Sénégal fait face à des défis majeurs dans de nombreux secteurs, tels que l’éducation, la santé, la sécurité, l’énergie, et l’agriculture. L’urgence est ailleurs. Nous demandons donc au président de dissoudre cette Assemblée nationale le 12 septembre, afin de permettre un climat serein et propice à une DPG enrichissante et digne, conduite par un Premier ministre responsable devant une assemblée constituée de responsables citoyens dont leur présence est plus utile que la présence de ces députés-insulteurs.
Ces députés irresponsables de la coalition Benno ne méritent que cette mise à l’écart. Leur comportement est non seulement ridicule, mais aussi profondément irrespectueux des valeurs républicaines.
Il est temps de permettre au Sénégal d’avancer vers un avenir meilleur, avec une nouvelle majorité qui soutiendra le Président Diomaye dans la mise en place d’une gouvernance sérieuse et orientée vers l’intérêt général. Des élections doivent être organisées dans les délais constitutionnels pour donner à PASTEF et à la coalition « Diomaye Président » une majorité forte et stable, afin que le Sénégal puisse devenir, dans les prochaines années, un pays prospère et développé.
Vive la République et les républicains.
À bas les insulteurs et profanateurs de la République.
Signé: L’oeil de Cheikh
Je pense que le premier ministre doit y aller le 13 quand bien même tout le monde sait que cette AN n’est pas digne du peuple sénégalais.Nous avons besoin de faire notre DOB et les LFR pour permettre au président de la république de dérouler tranquillement jusqu’au 31 décembre.
Le drame du Sénégal c qu’il ya des gens qui placent l’image de leur Dieu au dessus de celle du pays. Même quand leur Dieu se moque des institutions du pays, ils applaudissent. Quand leur Dieu abîme l’image de leur pays ils applaudissent. Ces gens sont-ils vraiment des sénégalais ?
Arrête de blasphèmer il n’ existe qu’un seul Dieu. Faisons la politique et arretons nous sur les débats d’idées
Le PM ne devra pas se rendre a l’AN car les debats seront d’une bassesse criante avec coura macky (da gnou koy firire) et autres. Il faut dissoudre cette assemblee
Avec un peu d’intelligence, tu devrais comprendre que l’assemblée nationale est la clé de voûte de nos institutions. Sans elle, tu ne serais pas pas à défendre Sonko. De temps en temps, il est bon de n’être pas idiot. L’assemblée sera dissoute mais es-tu sûr que la nouvelle majorité sera celle du Président?
Le Vrai.
Si le premier ministre ne se présente pas à l’assemblée nationale le 13 pour cause de dissolution de l’assemblée nationale, alors le Président aura insulté les sénégalais.
Le Vrai.
Vous êtes content vous ne verrez même pas Ousmane sonko vous revez