Le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (Mesri) rappelle que l’ouverture et le fonctionnement des établissements privés d’enseignement supérieur (Epes) obéissent à un cadre réglementaire strict.
Dans un communiqué rendu public exploité par Senego, le directeur général de l’Enseignement supérieur, Pr Abdoul Aziz Diouf, précise que tout projet de création d’un Epes doit passer par le dépôt d’un dossier complet auprès du ministère compétent. « Le fonctionnement d’un Epes est subordonné à l’approbation par l’autorité compétente à travers l’octroi d’un agrément provisoire », souligne-t-il.
Ainsi, aucun établissement privé ne peut délivrer de diplômes de Licence, Master ou Doctorat, ni proposer des formations dans les filières d’exercice (médecine, pharmacie, odontostomatologie, médecine vétérinaire, chirurgie dentaire), sans avoir obtenu au préalable un agrément officiel du Mesri.
La Dges invite par ailleurs le public à se conformer aux textes en vigueur, notamment la loi n°94-82 du 23 décembre 1994 relative au statut des établissements privés et le décret n°2018-850 du 11 mai 2018 portant statut des établissements privés d’enseignement supérieur.
Le communiqué prévient que tout manquement entraînera la fermeture immédiate de l’établissement concerné, en plus de poursuites judiciaires prévues par la législation.
A mon avis, la médecine devait et doit rester public.
Les diplomés de ces ecoles privées en médecine comment on peut controler leur compétence ? Il suffit d’intégrer certains clubs bien connus pour opérer dans les cliniques et faire du n’importe quoi la bas.
Non meusieur il faut qu’il faut de l’ordre dans l’enseignement comment peut ton admettre une non agréé continu à exerce et délivrer des diplômes non reconnu par l’état et les pauvres parents qui ont payé leur argent que vont t ils faire il faut de l’ordre dans ce pays il y a trop d’anarchie
Bonne nouvelle cependant :
Si pour enseigner dans le privée les fonctionnaires doivent d’abord chercher une autorisation du Ministère, si c’est toujours le cas beaucoup enseignent sans cette autorisation et en plus ils vont négocier leur emploi du temps dans les privées avant de s’arranger pour l’emploi du temps dont ils sont fonctionnaires aux lycées ou colleges
Au lieu d’aller en guerre avec ces établissements, il serait bien plus simple de les encadrer pour qu’ils puissent avoir leurs accréditations.
Les établissements publics sont si moribonds que les Sénégalais n’ont d’autre choix que de se replier sur le privé.
Aussi les formations offertes par le public sont en déphasage avec l’exigence du marché du travail.
Mr le ministre, vous ne faites que former des chômeurs alors ne noyez pas les établissements qui bon en mal en répondent positivement à la dynamique de l’emploi. Aidez-les donc à se conformer.
Merci mr le ministre.il était temps.
Il faut mediatiser cette décision et rester ferme.
I D Niokhobaye.
Ne faudrait il pas simplement les fermer? Le public ne saurait faire la différence