Décès de l’agent Ousseynou Sylla : Plainte annoncée contre le commissaire de Matam…
Suite au décès de leur camarade Ousseynou Sylla dans des circonstances nébuleuses, les membres de l’Association des auxiliaires de police de la 5ème génération, en collaboration avec la famille de la victime, menacent de porter plainte contre le commissaire de police de Matam et le médecin traitant, pour non assistance à une personne en danger.
Ils affirment que l’agent perdait beaucoup de sang, après la survenance de l’incident à 14h, mais le médecin a refusé de le prendre en charge sans l’aval du commissaire qui s’est rendu à l’hôpital aux environs de 23h, pour ordonner son opération.
Sur ce, ils ont déduit que son décès est survenu à 23h, au cours de l’opération du fait de son évacuation tardive, contrairement au rapport de l’autopsie du médecin qui indique l’heure fatale le lendemain à 08h.
Les membres de la famille du défunt comptent saisir le Procureur de la République, pour l’ouverture d’une information judiciaire car, selon eux, les circonstances du décès de leur enfant doivent être élucidées, compte tenu de l’attitude suspecte de ses supérieurs.
D’après Dakarposte, cette décision des parents de la victime d’ester en justice, à été motivée par l’attitude qu’elle juge « désinvolte et irrespectueuse » de son chef de service, c’est à dire le commissaire qui, selon eux, n’a même pas daigné attendre l’enterrement du défunt qui devait se tenir, ce 09.04.2023, à 17h , à Kolda, préférant quitter plutôt sans présenter ses condoléances à la famille.
On aura tout vu sous Macky et son régime dictatorial Le Sénégal ne mérite pas ça
UNE PLAINTE SANS SUITE C EST SUR DOOR DOM LAK DOM DEUX POIDS DEUX MESURES C’EST ÇA LE REGIME DICTATORAL ASSASSINS CRIMINELS DÉLINQUANTS VOLEURS DEUMS MENTEURS DE MAQUIS SALLES FIRAHOUNA DÉGAGE
On juge les faits, seulement les faits.
S’il est ou coupable dépend uniquement au fait qu’il ait failli à sa responsabilité docteur ou responsable hiérarchique.
L’émotionnel ne peut entrer en ligne de compte, bien que cela soit dur de perdre quelqu’un dans de pareilles circonstances.
Les responsabilités doivent être doivent être mises en lumière et fautifs il y a les sanctions disciplinaires doivent tomber
Comme il nous arrive d’oublier que l’on est au Sénégal on va trop vite en besogne en parlant d’état de droit.
Que son âme repose en paix et que les fautifs soient confondues et châtiés.
Du courage !