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Cheikh Oumar Diagne : "l'aide à la presse n'est pas normale…" (vidéo)

Cheikh Oumar Diagne n’est pas d’accord avec l’aide à la presse. Selon le directeur des moyens généraux de la présidence de la République, les autorités et les hommes de médias doivent ensemble trouver un modèle d’accompagnement avec des crédits de l’État de 1% en cas de problème de trésorerie, car la presse a une mission de service public.

« Je pense que l’aide à la presse n’est pas normale. L’État et les hommes des médias doivent réfléchir ensemble sur comment accompagner avec un fonds pour la presse à des taux préférentiels et beaucoup d’autres choses. Cela éviterait que les patrons de la presse soient obligés d’emprunter de l’argent dans les banques en cas de problème de trésorerie avec des taux de 8 à 9% », a-t-il dit dans un entretien sur Fafa Tv.

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Comme la presse a une mission de service public, le Pr Cheikh Oumar Diagne explique qu’elle peut avoir des crédits de l’État à un taux de 1% ou à un taux d’inflation simple pour mieux les aider dans leur trésorerie.

Cela éviterait la fermeture de certaines boîtes, car la presse a une mission très importante dans un pays.

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Il précise que cet accompagnement doit être fait avec les médias qui jouent pleinement leur rôle dans la sensibilisation et l’éducation. »

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8 commentaires

  1. Zack

    L’argent public n’est pas pour enrichir des intérêts privés trop déficit au Sénégal pour pas recouvrir les impôts dans leur entièreté la plus ferme


  2. Deug

    C’est bon pour cette presse qui ont participé à la destruction de l’ancien régime. Maintenant c’est vous qui va payer les pots cassés. Ces gens là vont réduire cette presse à zéro. Wait and see


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