Bassirou Diomaye Faye : « Je resterai vigilant et intransigeant face à toutes les menaces sur la paix, la stabilité… »
Lors de son allocution du 31 décembre, le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a livré un message empreint de fermeté et d’espoir. Se positionnant comme gardien des institutions et garant de l’unité nationale, il a rappelé l’importance d’un dialogue ouvert mais responsable, face aux défis menaçant la paix et la stabilité du pays.
Insistant sur la nécessité de préserver l’équilibre démocratique, le chef de l’État a déclaré : « Je resterai vigilant et intransigeant face à toutes les menaces sur la paix, la stabilité et notre bien commun. Nous devons conjuguer fermeté sur les principes et ouverture d’esprit pour préserver la cohésion de notre pays. »
Mettant en avant les racines culturelles profondes de la nation, Bassirou Diomaye Faye a exprimé sa fierté quant à la capacité du peuple à transformer sa diversité en force :« Nous sommes un peuple singulier, aux racines ancrées dans la diversité de nos langues, de nos coutumes et de nos valeurs, qui a su faire de cette diversité une grande force. »
Le président a également invité ses concitoyens à écrire un nouveau chapitre de l’histoire nationale, où la souveraineté, la justice, et la prospérité seraient pleinement partagées : « Il nous appartient d’assumer notre souveraineté, de vivre une justice réelle, et de partager notre prospérité : lu ñëpp bokk ñëpp jotci ! »
Pour y parvenir, il a appelé chacun à renouer avec les valeurs fondamentales léguées par les devanciers, tout en les inscrivant au cœur du projet de société :« Nous devons revêtir le majestueux manteau hérité de nos ancêtres, fait des valeurs précieuses que nous nous sommes engagés à promouvoir. »
Que faites-vous contre le coup élevé de la vie ?
Que faites-vous contre les fossoyeurs de l’Ipres?
Les retraités seront bientôt dans la rue pour montrer leur colère.
Ils sont les plus vulnérables de la société.
Leur trop petit bout de salaire tombe irrégulièrement.
Il n’arrive pas à se soigner à cause de la lourdeur administrative et du mauvais plateau médical présent.
A quand l’indexation de la retraite à l’inflation ?
Les pauvres, non seulement ils sont frêles, malades, , pauvres mais ils entretiennent des grandes familles
Ils compensent là où l’état a faillit.
Il faut leur venir en aide car ceux sont eux qui assurent l’équilibre social du pays face a l’absence de l’état.
La paix, c’est vous pastef qui l’avez foutu en l’air alors nettoyez votre merde