Audio-Ousseynou Samba: « Le juge Lamotte et le procureur Lansana Diaby ont manqué de courage sur l’affaire Khalifa Sall… »
Dans l’émission objection sur la SudFm, le professeur, spécialiste en droit pénal à l’Ucad, Ousseynou Samba, a fait un commentaire sur l’arrêt de la Cedeao relatif au procès de Khalifa Sall.
Pour lui, le juge Malick Lamotte n’a pas eu le courage de dire ce que l’arrêt de la Cedeao a dit. Parce que, selon lui, « tout ce que la Cedeao a dit, a été déjà débattu au Sénégal« . Et que Malick Lamotte « le sait très bien, c’est un très grand juge…« .
Le docteur Ousseynou Samba en dit de même du procureur général près la Cour d’appel, Lansana Diaby, qui avait pourtant dit que le juge d’appel, en occurrence Demba Kandji, doit tenir compte du jugement rendu par la Cour de justice de la Cedeao.
Écoutez!
Au Sénégal on a l’habitude de dire Deugle Waayé!!
Deugleu un point c’est tout.
Il a fauté avec les fausses factures. Il doit etre puni.
Senegal dafa barri naafekhq…
Nul n’ignore que la comédie judiciaire actuellement orchestrée s’inscrit dans la seule volonté de baliser le chemin à cette bande dincompetents assoiffés de pouvoir. InchAllah cela ne passera car heureusement il y’a la justice divine qui, quelques fois semble accuser du retard mais qui finit toujours par arriver pour rendre gorge aux victimes.
Tidiane, tout les maires ont fait ce que Khaf à fait, même Macky en tant que maire de Fatick faisait la même chose. Qu’on ne nous fatigue pas. Ce n’est pas la meilleure façon pour se faire réélire
Droit mon gars si Khalifa était dans BBY il serait où en ce moment
Defoul dara parlez nous des fausses factures vous les mettez où foutez les en paix ils ont dit que le droit bayilene nafekhe.
En tout cas Macky warna délosi xéllam té khamnii gour diarroul yéneu yii tout le monde kham nagne né khalifa sall déffoul dara donc nacko macky bayii balamouy guère Sii Sénégal car cette injustice est très dangereux pour un pays démocrate concernant les juges et les avocats de l’État kham léne nii bamél dina ame té macky douffa ame part de responsabilité kou déh yack sa bamél donc atté léne deug mo guéne sii yéne