Les récentes sorties médiatiques du Président Bassirou Diomaye Faye, marquées par des allusions directes à son Premier ministre Ousmane Sonko, continuent d’alimenter le débat politique au Sénégal. Interrogé par nos confrères de Sud Quotidien, Dr Momar Thiam, expert en communication politique, livre une analyse détaillée de cette séquence, y percevant une communication présidentielle loin d’être fortuite dans le contexte actuel.
Le Chef de l’État a récemment évoqué la succession présidentielle devant les pupilles de la Nation, affirmant que « demain, ce sera peut-être le Premier ministre ». Pour le directeur de l’École des hautes études en information et communication (HEIC), cette déclaration ne relève pas du hasard. Selon Dr Momar Thiam, le Président Diomaye Faye utilise ici une formulation anecdotique pour illustrer une perspective politique précise. En choisissant de nommer explicitement Ousmane Sonko plutôt qu’une figure générique, le Président valide implicitement les ambitions de son Premier ministre, tout en laissant planer le doute sur l’échéance exacte, que ce soit pour 2029 ou au-delà.
Cette dynamique s’est poursuivie lors de la Journée nationale de la diaspora, où une complicité affichée autour de souvenirs de campagne a été notée, un moment d’ailleurs salué par certains observateurs comme Alioune Tine pour sa touche d’humour. Dr Momar Thiam évoque à ce sujet les « contours souterrains d’un discours ». Il estime que le Président Diomaye cherche potentiellement l’apaisement en envoyant un signal codé aux militants : « après moi, c’est lui ». Une posture qui rappelle, selon l’expert, la « force tranquille » de François Mitterrand, permettant au Chef de l’État de se placer au-dessus de la mêlée tout en entretenant un certain mystère.
L’impact réel de cette communication sur la base militante reste l’inconnue majeure de l’équation. Alors que des rumeurs de divergences internes circulent parfois, cette stratégie pourrait viser à décrisper l’atmosphère au sein de Pastef. L’expert note toutefois que les deux têtes de l’exécutif semblent se livrer à un marquage strict sur le terrain politique, notamment avec les ambitions de mobilisation affichées par le Premier ministre. Tout dépendra désormais de la perception de ces messages par les sympathisants, alors que le Président Diomaye entame ses tournées économiques.

Il ne sagit pas de tendre la perche a Sonko. Il s’agit de respecter le choix de rupture fait par 54% des Senegalais quil a trahit depuis 2024. Il na rien fait de concret ni pose sucun acte pour la memoire des 86 morts et les milliers de prisonniers politique. JE N’AI PLUS CONFIANCE EN CET INCOMPETENT QUI A TRAHIT LES MILLIONS DE SENEGALAIS QUI SE SONT SACRIFIES.
Les arrangements amicaux et politiques ne doivent pas se dérouler dans le schéma de gouvernement qui met tous les citoyens au même pied d égalité.
La République, c est la République. Elle ne peut s accommoder de combines politique. La République, c est la constitution. Les arrangements amimicauc politiques
Quel que soient les formules, discours et récits, la situation politique est claire et on sait désormais qui est qui et qui peut faire quoi. En tout cas, Sonko est constant et ses démarches limpides .
On ne joue pas avec la vie des gens. Plus d’une centaine de morts, des amputés, des blessés, ….. etc. Plus de milliers de milliards volés. Ce diomaye est un traitre qui a dévoyé le projet pour ses propres ambitions politiques. S’il pouvait écraser SONKO, il le ferait. Mais sentant que la puissance de SONKO et sa légitimité sont trop importantes pour pouvoir le nuire, il n’a d’autre choix que de courber l’échine, un choix non pas voulu mais imposé par la puissance politique de SONKO. De toute façon ce type est fini, il comprendra en 2027 et surtout en 2029, lorsqu’il n’aura plus les décrets qui lui ont montés sa petite tête de déterré
Comment une personne qui vous désigne, vous choisit, vous porte, et en plus surmonte tous les obstacles financiers, logistiques, intellectuels, juridiques, moraux, sociaux et culturels, peut-elle être accusée d’avoir reçu une aide indue ou qu’un président est tendu une perce à son bien faiseur ? N’est-ce pas étrange de la part de nos soi-disant intellectuels et spécialistes en communication ? Nous avons accordé au président actuel ce qu’aucun parent ne peut offrir à son fils. Demandez-le donc à Abdoulaye Wade lorsqu’il a voulu faire la même chose avec son fils Karim. La modestie, l’humilité et l’honnêteté intellectuelle exigent que nous reconnaissions les contributions de chacun et surtout de son bien faiseur de roi. Wasalam
Mom comment il peut le regarder avec deux yeux mane mom j’ai tjrs cru au serere mais sénégalais beugoul kouy woor
Gnoune dale Sonko rek lagnouy top.
Si Sonko veut, on veut.
N’en déplaise aux loups déguisés en moutons qui ont infiltrés le troupeaux et croient qu’on ne les reconnaît pas.
Retournez chez vos partis et allez essayer de convaincre les sénégalais par des idées au lieu de miser sur une séparation Sonko/Diomaye. Les fils de Barth et de Bougaz qui veulent imploser Pastef, allez vous trouver une occupation.
On vous a demasqué, mbeulé.
on es pas dupe diomaye a perdu ma confiance