Affaire Tabaski Ngom : Moustapha Diop lève le voile sur une « relation transformée en accusation explosive »

Lors de son intervention en plénière vendredi, Moustapha Diop a répondu point par point aux accusations de Tabaski Ngom, inspectrice du Trésor, qui prétend lui avoir prêté 700 millions de francs CFA. S’exprimant en wolof, le député a détaillé sa relation avec son accusatrice et dénoncé ce qu’il considère comme une machination visant à l’impliquer injustement.
Une relation née en 2022
Selon Moustapha Diop, sa rencontre avec Tabaski Ngom remonte à 2022. Il raconte que cette dernière l’a contacté par téléphone après avoir entendu parler de lui comme d’un homme généreux et engagé dans le social. Éprouvant des difficultés sur son lieu de travail, elle aurait sollicité son aide, qu’il lui aurait accordée par solidarité religieuse.
Peu avant les élections législatives, selon M. Diop, elle l’aurait recontacté après avoir vu son affiche de campagne dans la rue. Tabaski Ngom aurait alors exprimé sa volonté de lui apporter son soutien politique et financier dans sa commune, en guise de remerciement pour le service qu’il lui avait rendu.
Un soutien devenu une accusation
Après les élections, elle l’aurait félicité pour sa victoire et lui aurait révélé avoir dépensé 20 millions de francs CFA durant la campagne en son nom. Une somme qui a surpris Moustapha Diop, mais qu’il a dit avoir accueillie avec gratitude.
Cependant, les choses ont ensuite pris une autre tournure. « Chaque jour, j’entends des rumeurs : d’abord 50 millions, puis 400 millions, et maintenant 700 millions. Elle affirme avoir remis l’argent à mes chauffeurs, qui ont tous nié devant les enquêteurs. »
Moustapha Diop poursuit en expliquant que Tabaski Ngom a tour à tour cité plusieurs personnes comme intermédiaires ou témoins, dont Momath Ba (actuellement en liberté provisoire). Lorsqu’elle a été sommée par les enquêteurs d’apporter des preuves de ce prêt, elle aurait déclaré l’avoir « marabouté » pour récupérer son argent, ce qui a laissé le député perplexe.
« Une créance aussi importante nécessite des documents officiels »
Le député rappelle que toute dette dépassant 2 000 francs CFA doit être formalisée par un écrit signé. Il dénonce la création de fausses décharges visant à l’incriminer et affirme ne jamais en avoir rédigé ni signé.
« On a même scanné un cachet pour falsifier des documents. Mais jusqu’à la fin des temps, personne ne pourra fournir un élément de preuve contre moi, ni audio ni écrit. »
Par cette déclaration, Moustapha Diop tente de balayer les accusations portées contre lui et de convaincre ses collègues de l’inconsistance du dossier.
Rires !
Sans commentaires!
La dame même à un million elle allait exigée que Moustapha fasse un écrit ou au moins devant des témoins mais comment se fait il madame vous venez voire un monsieur pour vous aider si vous avez les moyens de prêter 7000000 vous ne devez pas avoir besoin d aide donc votre démence d aide n était rien d autre qu un piège c est pas gentille çà
lepp dina ler Bou diakarlo AK pol financier,nio xol signature bi ndax mom la wala femme bi la
Ah les muzulmenteurs ! Doul rék ?
Merde way mou nane musulman doul rek pourquoi généralisé ?
Et dire après certains se disent croyants musulmans
Dey doule
Il était l amant de la femme
Mome farou guél bi lawone
Hunnnnnn pas très convaincant Mr Diop