L’enquête autour du couple Aliou Sall et Assista Sall connaît de nouveaux rebondissements. D’après les révélations exclusives du journal L’Observateur, les enquêteurs de la Division des Investigations Criminelles (DIC) ont désormais une vision claire sur les opérations financières à l’origine de ce scandale baptisé « l’affaire Serteem ».
Un terrain de luxe aux Almadies au cœur du dossier
Tout est parti d’un terrain de plus de 1 000 mètres carrés, situé aux Almadies, à proximité de l’ambassade des États-Unis. Ce bien immobilier, estimé à plus d’un milliard FCFA, appartenait à une Société Civile Immobilière (SCI) familiale dirigée par Assista Sall, épouse d’Aliou Sall.
Selon L’Observateur, ce dernier, muni d’une procuration signée par sa femme, aurait entamé des négociations avec l’homme d’affaires Amadou Loum Diagne pour le développement du projet. Cependant, n’ayant pas les moyens de financer l’intégralité de l’achat, il aurait proposé une coparticipation avec Mbaye Faye et Léopold Ngom, ce dernier étant associé à la société Serteem.
Des flux financiers suspects
Le dossier révèle deux opérations financières majeures :
- 170 millions FCFA transférés entre Aliou Sall et la société Serteem, répartis en deux versements de 100 et 70 millions FCFA.
- Un financement supplémentaire provenant de Seny Thiam, promoteur immobilier à Diamniadio, aurait renforcé la participation au projet.
L’ensemble des transactions, selon les enquêteurs, aurait transité par des comptes bancaires ouverts à Coris Bank, avec la participation de la SCI familiale et de Serteem.
Un projet immobilier devenu affaire judiciaire
Le terrain acquis pour près de 600 millions FCFA devait servir à un vaste projet immobilier commun, mais les fonds mobilisés et les montages financiers sont aujourd’hui scrutés par la justice.
Les enquêteurs du Pool judiciaire financier veulent vérifier la traçabilité des flux, suspectant des irrégularités dans la provenance de certaines sommes.
D’après L’Observateur, Maître El Hadji Diouf, avocat d’Aliou Sall, affirme que toutes les opérations étaient légales et que le couple Sall n’a rien à se reprocher.
C’est grotesque ces rapports bidons, vraiment ridicule ! C’est du « ngoogne » que l’on répand par terre pour le troupeau de moutons pastéfiens. sonko dioms et leur syndicat des impôts sont les pires prédateurs fonciers du pays, des incompétents qui ont bradé plusieurs terrains, personne n’est dupe
Le foncier, toujours le même foncier qui appartient à tous les sénégalais ignoblement accaparé par cette famille Sall pour devenir des milliardaires du jour au lendemain sans effort, sans suer. Pendant que des hommes d’affaires, des commerçants travaillent dignement avec peine et beaucoup de risques pendant des décennies pour devenir de rares milliardaires, cette famille toute honte bue,sans suer, sans aucun effort profite de leur statut pour exploiter le foncier du peuple sénégalais et devenir milliardaires de père à fils en passant par les frères, les beaux parents. Une famille de sangsues démoniaques qui ont sucé le peuple sénégalais jusqu’à la
Ça devient ridicule tout ça pour ça
ÇA C’EST DANS L’IMMOBILIER.
NOUS POPULATION, VOULONS AUSSI SAVOIR SUR CE QU’ON DISAIT QUAND ON COMBATTAIT LE RÉGIME : L’AFFAIRE PETROTIME, D’OÙ LE SLOGAN SAMA 400.000F .
TOUT LE MONDE SE RAPPELLE DE ÇA . QUE TOUT SOIT CLAIRE.
LA COVID19, L’AFFAIRE PETROTIME, ETC.. NOUS ATTENDONS .
ET ON VEUT QU’ON RECUPERE SES MILLIARDS L’INVESTIR AU SÉNÉGAL.
ON NE PARLE PAS DE MILLIONS MAIS DE MILLIARDS, LA COVID19 C’ÉTAIT DES MILLIARDS ET L’AFFAIRE PETROTIME AUSSI 6000 MILLIARDS ON NOUS DISAIT.
QUE TOUT SOIT CLAIRE ET RÉCUPÉRÉ
Diouf comme iow sathie yeep gna beugeu défendre sa affaire mo thiey bakh reek ya a a gogo