Affaire cadres casamançais : Cheikh Gadiaga traite Atepa de…

Le président de la république était dans tous ses états lors du conseil présidentiel organisé à Fatick dans le cadre de ses tournées économiques. Macky Sall, invité par le Collectif des cadres casamançais, à libérer Ousmane Sonko, a piqué une colère noire avant de tirer sur le signataire de ladite lettre Pierre Atepa Goudiaby. Le patron de l’Alliance pour la république (Apr) a déchiré la lettre qui lui a adressée par le collectif qui demande la libération du maire de Ziguinchor. «J’ai vu des escrocs dire que c’est des cadres…Moi, je ne vous réponds pas. D’abord, il n’y a pas de cadres casamançais. C’est une seule personne qui écrit et signe pour dire Cadre casamançais. Il faut respecter les gens», a-t-il répondu.

Une réponse qui n’a pas plu à beaucoup de soutiens de Atepa. Dans une vidéo sur les réseaux sociaux, Cheikh Mbacké Gadiaga en ramène une couche. Le défenseur du chef de l’Etat n’a pas raté l’architecte. «Il faudrait que Pierre Goudiaby Atepa arrête de faire du trafic d’influence. Il avait promis de donner des iPad à tous les étudiants. Mais depuis lors, rien n’est fait. Il avait aussi promis d’amener une compagnie sucrière en Casamance, là aussi il n’en a rien fait», a déclaré le membre de la coalition Benno Bokk Yakaar.

Gadiaga d’ajouter : «Nous n’allons plus le laisser faire. Nous savons beaucoup de choses sur lui et nous hésiterons pas à le mettre sur la table», met-il en garde. Avant de s’indigner sur le silence de Atepa lorsque des militaires sénégalais ont été kidnappé par les rebelles. Le défenseur du président de conclure : «celui qui détruit la vie des autres par le mensonge,  verra sa vie être détruite par la vérité».

La rédaction de Sénégal Info et celle de Verdict News ouvrent leur porte à M. Goudiaby s’il compte apporter des éléments de réponse à cette sortie de Cheikh Gadiaga.

Avec Sunugal24

2 COMMENTAIRES
  • Le révolté

    Pourquoi répondre ; le chien aboie la caravane passe.

  • Ex pastef

    Atépa tu répondre puisque qu’on t’a interpellé

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