Plusieurs organisations de la société civile sénégalaise ont saisi le procureur de la République pour demander l’ouverture d’une enquête sur les circonstances du décès de Nogaye Thiam. Cette jeune femme de 23 ans, mère d’un enfant en bas âge, a été retrouvée sans vie au domicile de sa belle-famille.
Selon les informations rapportées par PressAfrik, une plainte collective a été déposée le 21 novembre 2025 par un regroupement d’associations, dont le collectif des féministes du Sénégal, Jigen Sénégal, et la Ligue des soignantes sénégalaises. Dans un communiqué, ces organisations expliquent avoir été alertées sur les « circonstances tragiques et troubles » entourant cette affaire. Elles soulignent que le corps de la victime a été découvert deux jours après son décès, alors que son enfant, âgé d’un an et demi, se trouvait seul à ses côtés durant cette période.
Les associations signataires de la plainte font état d’informations concordantes selon lesquelles Nogaye Thiam vivait une situation de conflit et d’isolement au sein de sa belle-famille. Ce contexte soulève, selon elles, des interrogations sur une éventuelle « non-assistance à personne en danger ou l’intervention de tiers ». Leur démarche vise à obtenir une investigation rigoureuse pour déterminer les causes exactes de la mort, notamment par une autopsie. Elles demandent également « l’audition de toutes les personnes présentes ou ayant eu connaissance du conflit familial » afin de clarifier les responsabilités.
Selon nos informations, cette affaire est marquée par des versions contradictoires. Le père de la défunte, Samba Thiam, accuse la belle-famille d’indifférence, affirmant qu’une dispute aurait éclaté avant que sa fille ne s’enferme dans sa chambre, où elle serait restée sans que personne ne s’inquiète pendant 48 heures. De son côté, la belle-mère de Nogaye Thiam a contesté cette chronologie des faits. Dans une déclaration, elle a affirmé que le corps avait été découvert après 24 heures et non 48, ajoutant : « Nogaye n’avait aucun problème dans cette maison, nous vivions dans une parfaite harmonie ».
Peine perdue. La famille s en sortira avec un avocat meme mauvais. Il faudra prouver que la famille etait au courant que cette pauvrr femne etait en danger en etant enfermer dans sa chambre. Situation très dèlicate . La loi ne dèfinit pas combieb de jours ou d heures faut il toker a.la chambre de quelqu.un pour s enquèrir de sa situation.
Mais là loi est très ferme quant à la maltraitance d’une femme. Tout indique que la famille s’était liguée contre elle. Quand on regarde au cinéma des films où il y a de terribles familles qui maltraitent quelqu’un on ne peut pas imaginer que cela puisse être le cas échéant dans la vie réelle. Cette vilaine-mère doit être la personnification du discipline de Satan.
Merci. Cette sorcière de vilaine-mère doit rendre des comptes.