Rapport Cour des comptes : « Ces criminels méritent les châtiments les plus cruels », (Commissaire Sadio)

Dans un post publié sur sa page Facebook, Boubacar Sadio, commissaire divisionnaire à la retraite, dénonce avec force les révélations du rapport de la Cour des comptes.
Selon lui, sous le régime de Macky Sall, un véritable carnage des finances publiques a eu lieu, laissant des cicatrices profondes dans la gestion du pays.
Texte in extenso :
Tout le monde l’attendait en trépignant d’impatience ; certains pour avoir confirmation des propos du Premier ministre, d’autres pour assister à son humiliation par un démenti.
Le rapport de la Cour des comptes est sorti pour révéler pire qu’avait dit Ousmane Sonko. Les révélations sont stupéfiantes, sidérantes et lunaires.
Pendant douze ans le Président Macky Sall et sa bande d’acolytes se sont livrés à un véritable carnage de nos finances publiques, sans vergogne et sans états d’âme, faisant montre d’une immortalité voire d’une amoralité effarante. Ces criminels méritent les châtiments les plus cruels.
A quoi ont servi les nombreuses structures de contrôle censées protéger l’argent du contribuable ?
Dieu Aime vraiment le Sénégal. Imaginez une seule seconde que ces criminels fussent reconduits à la tête de ce pays.
Un éternel aigri que sa haine, sa rancoeur envers le président Macky Sall va consumer à petit feu. Parceque ce qu’on nous a présenté hier comme étant un « rapport » de la cour des comptes en est un ? Il faut vraiment être naïf pour le croire. Car ce n’est ni dans sa forme, ni dans son fond moins encore dans ses finalités pour reprendre un peu Me Aissata Tall Sall.
Avec PASTEF et sa bande de haineux, le Sénégal coulera.
Que de la manipulation, des mensonges, des gueules puantes de méchanceté.
Fermez vos sales gueules et commencez au moins par réduire vos avantages.
Honte à vous et aux intellectuels hypocrites qui ont baissé leurs culottes devant sonko.
Ce mec n’a jamais été tendre avec le président Macky Sall et toutes les occasions sont bonnes pour le pilonner. Sucez votre gâteau et laisser le président Diomaye FAYE mettre en œuvre les solutions nécessaires au redressement de la situation économique du pays. Ses jeunes ministres sont engagés dans cette volonté de tout redresser et de redonner espoir aux populations de tout bord.
Sincèrement, ces rancuniers comme cet ex officier supérieur de la police, n’ont pas leur place dans le dispositif actuel de gouvernance. Il est temps que le PR et son PM procèdent au regroupement de certaines agences et structures budgetivores dirigées par ces vautours qui transposent leurs humeurs et leur haine dans cette nouvelle ère que nous voulons voir débarrassée de ces vieux retraités.
Aidons les nouvelles autorités à mettre en branle le processus de développement de ce pays pour la satisfaction des populations à travers la promotion des services sociaux de base.
Le président et son gouvernement s’y sont engagés et réussiront inchallah la mission qui leur est assignée loin de ces vieux méchants, bavards et revanchards qui ne proposent rien que la prison pour leurs anciens adversaires.
l état doit pas tergiverser une seule seconde pour traquer severement ces carnassiers et les jeter en prison en sus du remboursement du produit de leurs carnages
La politique est par excellence l’art d’opposer les idées, de diviser les gens, de susciter de la haine et de permettre à des idiots et idiotes de s’exprimer sur des sujets que leur cerveau est incapable de maitriser. Alors, avec l’avènement des réseaux sociaux, les plus inutiles à la société se rendent intéressant, grâce à leur pseudo. Que chacun et chacune, pense à sa tombe, avant d’accuser gratuitement ou de souhaiter du mal à autrui.
Le Vrai.
Ils méritent la guillotine
Un rapport biaisé et incohérent :La Cour des comptes sous pression politique
Le récent rapport de la Cour des comptes sur la gestion financière du précédent régime s’inscrit dans un contexte hautement politique. Or, loin d’apporter un éclairage impartial sur les finances publiques, il se distingue par des contradictions flagrantes, des imprécisions méthodologiques et une complaisance manifeste vis-à-vis du nouveau gouvernement. Ce document, censé être une référence en matière de transparence budgétaire, semble avoir été rédigé sous contrainte politique, compromettant ainsi sa crédibilité et son objectivité.
Une analyse approximative de la dette publique
L’un des axes majeurs du rapport concerne l’encours de la dette publique, mais il se distingue par une absence d’évaluation précise. Alors qu’il affirme que l’endettement de l’État est supérieur aux chiffres officiels, il ne propose aucune estimation concrète et laisse planer l’incertitude sur l’ampleur réelle du phénomène.
De plus, le rapport souligne des discordances entre les données de la Direction de la Dette Publique (DDP) et celles du Tableau des Opérations Financières de l’État (TOFE) sans arbitrer sur la fiabilité de l’une ou l’autre source. Il en résulte une lecture confuse de la situation budgétaire, où des accusations graves sont portées sans fondement précis.
Enfin, la Cour critique un manque de traçabilité sur certaines dettes bancaires tout en reconnaissant leur existence, sans apporter d’éléments probants sur leur volume ni leur impact réel sur les finances publiques.
Une contradiction sur l’évolution des recettes fiscales
Le rapport dépeint un tableau contradictoire des recettes fiscales. D’une part, il reconnaît que ces recettes ont connu une croissance soutenue entre 2019 et 2023, à l’exception de 2020, année marquée par la crise sanitaire. D’autre part, il affirme que le stock des créances fiscales impayées a progressé de 32 %, sans contextualiser ce chiffre ni en analyser les causes profondes. Cette juxtaposition d’affirmations contradictoires conduit à une lecture erronée de la dynamique budgétaire.
Par ailleurs, la Cour déplore un suivi insuffisant des dépenses fiscales (exonérations), tout en fournissant des estimations annuelles qui prouvent l’existence d’un mécanisme de contrôle. Cette incohérence illustre une volonté manifeste de pointer des irrégularités sans en démontrer la réalité.
Des failles méthodologiques
L’approche méthodologique adoptée par la Cour soulève de sérieuses interrogations. Elle dénonce des pratiques de rattachements irréguliers de recettes visant à minimiser artificiellement le déficit budgétaire, tout en évitant d’examiner d’autres pratiques comptables qui pourraient exagérer certaines dépenses.
De même, elle qualifie de « opaques » les Comptes Spéciaux du Trésor (CST), mais accepte les chiffres qui en émanent sans expliquer le processus de vérification employé. Une telle contradiction affaiblit la rigueur du rapport et met en doute la fiabilité de ses conclusions.
Une gestion budgétaire mal analysée
Le rapport accuse l’ancien gouvernement d’avoir contracté une dette bancaire hors du circuit budgétaire, sans expliciter comment cette dette a pu être dissimulée pendant plusieurs années. Une accusation d’une telle gravité nécessite des éléments concrets, que la Cour ne fournit pas.
En outre, elle critique les transferts vers les Services Non Personnalisés de l’État (SNPE), laissant entendre qu’il pourrait s’agir d’un détournement de fonds, mais sans fournir de preuve tangible. Une telle approche alimente le soupçon sans étayer les accusations, ce qui nuit à la crédibilité du document.
Un timing suspect et un manque d’indépendance
Le contexte de publication de ce rapport soulève des questions légitimes sur son indépendance. Il est rendu public immédiatement après l’arrivée du nouveau gouvernement et reprend presque mot pour mot les déclarations du Premier ministre Ousmane Sonko sur une supposée falsification des comptes. Cette synchronisation alimente le doute sur une possible instrumentalisation politique de la Cour des comptes.
De surcroît, le rapport s’appuie sur les documents officiels du précédent gouvernement pour en contester la fiabilité, sans justifier pourquoi certaines données seraient acceptées et d’autres rejetées. Cette sélectivité des critiques renforce l’idée d’un travail orienté.
Un rapport qui discrédite la Cour des comptes
Ce rapport, loin d’être un outil rigoureux de transparence budgétaire, illustre les dangers d’une institution sous pression politique. En multipliant les contradictions, les approximations et les assertions non étayées, il affaiblit sa propre crédibilité et jette un discrédit sur l’ensemble du processus d’audit.
Plutôt que d’être un instrument de vérification indépendante, la Cour des comptes semble avoir cédé à une logique partisane, compromettant ainsi sa mission de garant des finances publiques. Cette situation pose un précédent dangereux pour la gouvernance économique du pays, où l’expertise technique devrait prévaloir sur les agendas politiques.
Épargne cette literature bande d’imbécile vous navez même pas honte Imbécile que vous êtes
Du copier coller rekk ce texte. Je suis sur ta meme pas lu le rapport. Mais ca va pas empecher les coupables daller en prison.
Des pays PPTE toujours suces jusq u a l’os par leurs dirigeants. QUELLE HONTE !!!!
Tu penses qu on a le temps de lire tes inepties 🙄🙄.
Quelle honte ces pays africains qui s apprauvissent de pire en pire a cause des dirigeants et leaders corrompus.
Regardez moi ce c*******. Un rapport de plus de 50 pages et tu veux le discrediter avec 20 lignes. Quelle honte !!! Tu veux etre credible, faut publier un document credible.
Rakhassal méchanceté bi nek si yaw gorgui .adouna diaroul yeni yi
Def lou bakh wala wakh lou bakh dou wees
Pour apprécier le fromage à lui donné notre pauvre commissaire radié qui a raté sa vie aux USA l’ ouvre encore
Il faut rétablir la peine de mort pour les détournements de deniers publics avant de jugers les chiens de l’apr. Nous voulons la tête de Macky sall
Un vrai haineux celui-là
Bravo monsieur ce sont de mauvaises personnes voleurs de l’argent public faux musulmans le tribunal divine les attend pour tout le mal fait à la population sénégalaise
Et un type qui trompe ses deux épouses c’est un « bon musulman » ???
De mémoire de sénégalais, il ne m’a jamais été donné de connaître un homme aussi haineux et aussi aigri que ce Boubacar Sadio. Sa rancoeur envers le président Macky Sall va le consumer alors que ce dernier ignore jusqu’à son existence.
L’écrivaine saoudienne Wajeha al-Huwaider accuse Allah : « Sara, ma copine d’enfance, fut assassinée en ton nom »
L’écrivaine saoudienne Wajeha al-Huwaider* est bien connue comme militante pour les droits des femmes en Arabie saoudite. Elle fut arrêtée et détenue plusieurs fois depuis 2006. Elle manifestait souvent dans la rue en portant une pancarte indiquant « Accordez aux femmes leurs droits ». Elle est l’auteur de la première pétition adressée en 2002 au roi pour réclamer la fin de l’interdiction aux femmes saoudiennes de conduire un véhicule. Elle a également fait campagne contre les lois sur le mahram ou la tutelle qui accorde aux parents masculins le droit de contrôle sur la vie quotidienne des femmes, dont la permission de voyager à l’extérieur du domicile et du pays. Elle est la cofondatrice de l’Association pour la protection et la défense des droits des femmes en Arabie saoudite.
Le texte suivant est un témoignage poignant d’un angoissant souvenir d’enfance qui la tourmente depuis le décès de Sara, sa petite camarade et copine d’enfance, suite à l’excision qu’elles avaient subies ensemble le même jour. Aucun média arabe n’a voulu le publier. Elle me l’a confié depuis un certain temps avec d’autres textes du même calibre. Je suis heureux de le faire connaître aujourd’hui aux lecteurs francophones.
« Ce cauchemar-là me violente toujours et refuse de m’abandonner. Il m’a déjà arraché une partie de mon corps. Il m’a privé de mon droit de jouissance sexuelle que le Créateur m’a octroyée. Il a raflé Sara, ma copine d’enfance. On l’a tuée, puisqu’elle n’était pas « pure », comme ils prétendent.
Je ne sais pas comment me débarrasser de ce cauchemar qui me hante nuit et jour ! Je ne comprends pas pourquoi n’a-t-on pas encore inventé une inhalation euphorique susceptible d’effacer définitivement les souvenirs qui nous tourmentent, nous déchirent et nous aident à préserver uniquement les souvenirs agréables.
Je ne sais pas non plus comment me délivrer de ce supplice qui torture tout mon être , depuis la disparition de ma copine Sara. Tout contribue à l’enracinement profond de ces souffrances dans ma mémoire existentielle. Même la plaie cicatrisée de mon clitoris demeure creuse , à la suite de l’opération d’excision (du charcutage, plutôt) qu’on m’a affligée.
Sara, la camarade de ma petite enfance, était ma voisine. Nos demeures avaient en commun les mêmes murs délabrés qui, à tout instant, risquaient de s’écrouler. Nous habitions le même quartier dans un village au sud de l’Arabie saoudite.
Chaque matin, nous sortions, Sara et moi, au lever du soleil pour jouer et s’amuser ensemble. Il n’y avait dans notre commune ni espace de loisirs pour jouer, ni jardin public pour s’amuser, se détendre ou se promener. Il n’y avait que des terreaux et des demeures en ruine. Nous nous y enfonçons pour jouer souvent les rôles des adultes. Quel bonheur de rigoler et de se déplacer ensemble entre ces vestiges.
Nous avions du temps. Toute la matinée nous appartenait. Nous étions heureuses de la passer dans le jeu et la rigolade. Or, un jour, mes parents et ceux de Sara avaient décidé que nous apprenions le Coran avec cheikha Noura avant de nous faire intégrer dans le troupeau des filles dans une école publique. Ainsi me rendais-je tous les soirs chez Sara pour aller ensemble chez cheikha Noura et apprendre à mémoriser et à psalmodier quelques débris du Coran.
Un jour, contrairement aux habitudes, ma mère me réveille tôt le matin. Elle m’amène dans la salle d’eau, me lave sans prononcer un mot sur ses intentions. Elle me fait porter une robe blanche qui ressemble à un linceul funéraire. Puis elle me force à avaler un lourd petit déjeuner : des œufs, du beurre, du miel, du pain chaud. Ensuite, elle me fait boire une boisson d’un goût étrange dont je n’ai jamais pu deviner la nature ni l’origine.
Le petit déjeuner achevé, ma mère m’annonce que nous allons aussitôt avec Sara et sa maman à « la maternité de Omm Chaddad » pour purifier mon corps et celui de Sara. Elle ne m’explique pas de quoi ni pourquoi nos corps devaient être purifiés.
À peine sorties de notre demeure, nous rencontrâmes Sara et sa maman. Sara portait la même robe que moi, aussi blanche et terne. J’aurais voulu lui demander si elle savait ce que nous allons subir et que signifie la purification. Or, les traits austères manifestes sur les visages de nos mères me dissuadent de poser une question ou d’entamer une quelconque conversation.
Nous arrivâmes à la maternité d’Omm Chaddad, une demeure lugubre en dépit des aspects de la propreté et de l’ordre. Nous entrâmes dans une pièce où cinq mamans attendaient leur tour avec leurs fillettes qui avaient notre âge ou un peu moins.
Quelques minutes plus tard, une femme arriva. Elle était d’une corpulence bizarre, les traits de son visage endurcis, ses yeux vifs et acérés. J’apprends qu’il s’agit d’Omm Chaddad. Elle entame aussitôt la conversation à part avec ma mère et celle de Sara. Toutes les trois s’entendent quant à la somme d’argent, ou plutôt à propos de l’honoraire, qu’elles doivent lui payer d’avance. Le marché est vite conclu.
Sans évoquer la raison, ma mère demande qu’on commence à m’exciser en premier. Je demande alors à ma mère : Qu’est-ce que l’excision ? Elle m’ignore et ne prête aucune attention à mon interrogation.
Effrayée, j’entre avec ma mère dans une pièce dans laquelle se trouvait une table couverte d’un drap sombre. Deux femmes d’une allure effrayante m’allongent sur cette table avec l’aide de ma mère. Elles soulèvent ma robe avec laquelle elles me couvrent le visage. Puis, elles me déshabillent des sous-vêtements et ouvrent avec force mes deux jambes. Affolée, je crie fort. J’appelle au secours en sanglotant : « Maman ! Fais-moi sortir d’ici ! Délivre-moi de ces femmes, de ce cauchemar ! »
Très vite, une main sèche dépose un produit chaud sur mon clitoris. Elle le palpe, le frictionne et le tire avec force. Puis elle le lâche avant de le tirer de nouveau comme si elle voulait exciter mon instinct et me faire masturber.
Elle répète ce mouvement à maintes reprises. Mon clitoris devient raide. Soudain, avec une lame bien aiguisée elle le coupe. Mon sang est inutilement sacrifié. Une douleur terrible m’envahit avant de sombrer dans un coma profond qui dure quelques heures. Plus tard, je me réveille avec une souffrance qui déchire mes entrailles et ronge mes sentiments. Près de moi, ma mère compresse vigoureusement mon vagin avec un morceau de tissus afin de réduire et d’arrêter l’hémorragie.
Je restais allongée sur le matelas de la maladie plusieurs jours qui ressemblaient à une éternité. Je pleurais durant cette période, nuit et jour, jusqu’à l’assèchement de mes larmes. Il ne me restait plus qu’à déplorer ma chance et d’accuser Allah pour tout ce qui m’est arrivé à cause de lui, car c’est un dieu injuste, inhumain, insensible, sauvage. Pourquoi m’a-t-il créée « une fille impure » ?
Je ne reprends mes forces et mon calme que deux semaines plus tard. Voulant avoir des nouvelles de ma copine Sara, ma mère, accablée de tristesse, me dévisage et m’apprend que je ne la reverrai malheureusement plus. À la suite de son excision, elle a beaucoup saigné et a perdu la vie.
Voilà pourquoi ce cauchemar ne cesse, jusqu’à aujourd’hui, de me violenter et refuse de m’abandonner. Il m’a déjà arraché une partie de mon corps. Il m’a privé de mon droit à la jouissance sexuelle que la nature, ou peut-être le présumé Allah, m’a octroyée. En revanche, il a raflé Sara, mon unique copine d’enfance. Elle est morte, puisqu’elle n’était pas « pure », comme ils prétendaient. Elle est assassinée au nom de la loi de cet Allah, cette divinité immensément cruelle que nous devons adorer malgré nous. »
(*) Wajeha al-Huwaider se moque toujours des associations féministes occidentales, ces mondaines hypocrites qui ne s’intéressent qu’aux causes à géométrie variable de leurs concitoyennes et jamais à celles d’autres femmes opprimées et humiliées dans le monde.
Maurice Saliba
Sa façon de s exprimer montre la nature humaine monstrueuse de cet îndividu