Plainte contre la Bbc : Aliou Sall vise l’éthique journalistique

Suite et pas fin du «scandale à 10 milliards de dollars», une enquête de la BBC. Selon L’Observateur, Aliou Sall a déposé, via son avocat, une réclamation auprès du médiateur interne de la BBC.

Le journal précise que le cadet du Président Macky Sall exige une enquête sur «le reportage déséquilibré» de Mayeni Jones. Pour lui, les faits relatés par la Bbc sont erronés.

Se sentant diffamé, Aliou Sall remet en cause le reportage, pour non-respecté des règles éthiques et déontologiques du journalisme, notamment du principe du contradictoire.

26 COMMENTAIRES
  • Mbaye

    Aliou Sall en tant que journaliste de profession est voleur à la fois menteur elle est où l’éthique.

  • Goor Fitt

    Ce n est pas l importance mais dire si oui ou non avec preuves que tu n es pas impliqué dans ce vol

  • maxam

    Sall gaz. Salleguari petrole

  • Goor Fitt

    Je ne vais plus posté sur senego

  • Eugene Senghor

    Encore du cinéma pour gagner du temps Vraiment ce voleur se tout de nous. Hijo de mala madre y maricón de mierda

  • Serigne Mbaye Niang

    Ce n’est pas la peine di tourner autour du pot .Toi, en àme et conscience ,rends ta demissions afin de mieux eclairer les choses et laisses tomber les plaintes.

  • Papa Ndiaye

    Tu merites d etre fusille

  • Wasalam

    Mane sénégalais loutakh teyoul ba paré aveuglée par la haine di saga di wakh sathie dem lene guene khol contrat pétrolier a code pétrolier guene comprendre mais nekk si réseau sociaux topou politiquetient di saga niitt rekk

  • Samba

    Alioune Sall gueumeul yalla danga wérou lini fangeu kén douko diékhe lo wakhe di guena dougal sa bop kham nga mono nakhe sénégaléyi niép kham nanou ni dangaye fén wakho deug BBC niémé woko attaquer n’dakhe niome li niou dégnthie mo eupe li niou guéné yow ay dof nganiou diapé Sénégalais yi wayé niolay Fathi yo yagatoul

  • Le probleme

    Ne nous égarons pas. Pourquoi nous en sommes arrivé là! DEFAUT DE CONFIANCE EN LA « FAYSAL & GASSTIMB Cie » Gestion familiale de l’état + JUSTICE TELEGUIDÉE. Soigons ce problème d’abord sinon nous allons direct au chao.

  • bandiougou

    Foutez nous la paix et bouclez là Mr le pilleur en chef de la république

  • LE MOUVEMENT M2C

    C’EST CELA QUE VOUS APPELER PLAINTE NON MAIS REWMI MO NEKH???
    CES ELITES SE FOUTENT DE NOUS VRAIMENT
    ALIOUU SALL ON T ACCUSE AU LIEU DE PORTE PLAINTE POUR POUR FAUX ET DIFFAMATION OU ACCUSATIONN TU PORTE PLAINTE POUR LE DEROULMENT DE L’ENQUETE
    VET TOUT CE NAIF VONT L’APPELE PLAINTE
    C’EST PAREIL AUUSSI SONKO L’AVAIT FAIT QUAND MADIAMBAL DIAGNE L’AVAIT ACCUSER SUR TFM AU LIEU DE PORTE PLAINTE CONTRE MANDIAMBAL DIAGNE POUR DIFAMMATION ET ACCUSATION DE FAUX IL PORTE PLAINTE CONTRE TFM
    NO MAIS VU L ETAT DE NAÏVETÉ DU PEUPLE BAH ECOUTE QU’IL FASSE CE QU’IL VEULENT ET NOUS SERVENT DE DÉBILITER ET INSULTE NOTRE INTELLIGENCE CHAQUE JOUR

    TOGUEL FOFOU DI NELAW REK

  • Moussa balde

    Moi je crois si on pouvait confronter Mr A.Sall et la journaliste qui a fait le reportage en directe , serait mieux que d’attendre les plaintes

  • Abdoulaye Niasse

    Mr Sall on ne vous parle pas d’éthique ou de la déontologie mais on juste savoir si c’est vrai ou pas avec des justifications solides.
    Mr Sall et si ce que les gens murmurent est la réalité?
    Comment osez-vous manipuler la population sénégalaise, votre population?
    We need justice

  • Moussa balde

    Moi je crois il serait mieux d’affronter Mr A.liou Sall et la journaliste qui a fait le reportage ,en directe devant les sénégalais que d’attendre les plaintes

  • Rambo

    pauvre pays où les journalistes confondent réclamation et plainte. Pauvre pays où les crève la faim au lieu d’aller travailler pensent que les autres sont responsables de leur malheur et sont 24/24 et 7/7 dans les médias à vociférer, mentir, diffamer , dénigrer et insulter « ceux qui ont réussi ». Leur raisonnement et typique du nègre: si je suis pauvre, le dernier de la classe, méprisé par toute l’humanité c’est la faute à…….

  • Do

    Kham tu n’a rien à dire, on devé décapiter té organes ou te brûler vivant. Sathie kharam bi nga done.

  • Do

    Nopil sathie kharam bi, yaw on devé te recirconcir, saï saï bi.

  • EL Hadj Lamine Senghor

    Ce clown me fait rire quoi thiim

  • Ada Gueye

    Alioune sall sounou l argent
    Le pays dictateur

  • ibu

    macky defend son frere

  • Frère du Prési

    Aliou devrait DOYLOU té Sant Yallah. Avoir un président n’est pas banal. Il devrait se contenter d’une pension sur les fonds du president et cesser toutes activités politiques ou privées. Frère d’un président de pays pétrolier lui fait perdre sa propre identié, c’est sensible et même dangereux.

  • Malick Diallo

    Vous.navez.meme.pas.honte..sils.des.problemes.vous faites.recours.aux.policiers.vous.avez.detournait le.bien.du.peuple.en.1987.est.vous..avez.radier les.policiers .pour.refaire.les.caisses..vous.avez.interet.de.respecter.ces.vaillants.policier..les.politiciens.cest.tous.des.annes…

  • yama

    A la mana fenn

  • ousseynou wagnane

    Gás sall sall garpterol

  • pathé

    Que les journalistes Sénégalais sont nuls! Ici, Aliou réclame une enquête interne de la BBC sur les méthodes de sa journaliste qui ne respectent la déontologie journalistique et apporte des réponses préliminaires aux accusations portées contre lui. A la réception de cette correspondance BBC sera aux alrenatives suivantes:
    – etre solidaire avec son agent et confirmer ses accusations;
    – se désolidariser de son agent et reconnaitre ses fautes et la sanctionner en conséquence tout en présentant ses excuses à Monsieur Sall,
    – enfin ignorer la correspondance, cas presque improbable.
    Selon la nature de cette réponse, Monsieur Sall déposera ou pas une plainte contre BBC. Donc , les gens intelligents , en dehors des journalistes, ont compris qu’il s’agit d’une réclamation de manifestation de la vérité et non une plainte. La plainte, si plainte il y a, aura lieu devant les tribunaux. Pour votre gouverne voilà in extenso ladite reclamation;« Le dimanche 02 juin 2019, la BBC News Afrique a diffusé un reportage intitulé : « Un scandale à 10 milliards de dollars », présenté par la journaliste Mayeni Jones. L’analyse de l’élément laisse apparaître très nettement que ce reportage a été réalisé en violation manifeste des règles éthiques et déontologiques qui encadrent l’exercice du journalisme. En effet, plusieurs passages revêtent un caractère diffamatoire qui portent atteinte à l’honneur et à la considération du citoyen sénégalais Monsieur Aliou Sall. Nous devons porter à votre haute attention les éléments matériels qui indiquent que la journaliste Mayeni Jones n’a pas respecté en l’espèce toutes les règles de prudence que requiert une production fiable respectueuse des droits et libertés de la personne humaine.Vous constaterez avec nous que le principe du contradictoire a été manifestement violé, car l’auteur a sciemment et sérieusement tronqué le document écrit portant les réponses de Monsieur Aliou Sall à ses interpellations. Madame Mayeni Jones accuse Monsieur Aliou Sall : D’avoir usé de son influence en sa qualité de frère du Président de la République du Sénégal pour faire bénéficier à l’homme d’affaire roumain Frank Timis de contrats de recherches et de partage de production de pétrole et de gaz dans notre pays en contrepartie d’actions dans les sociétés de ce dernier d’une valeur de 03 millions de dollars.
    D’avoir dans les mêmes circonstances indûment bénéficié d’un salaire de 25 000 dollars américains par mois pendant cinq ans versés par l’entreprise de Monsieur Frank Timis.
    D’avoir également reçu un versement de 250 000 dollars américains viré par le même Monsieur Frank Timis dans le compte de Agritrans, la société de Monsieur Aliou Sall.
    Nous devons rappeler que ces allégations ne correspondent pas à la vérité. Nous reprochons à Madame Mayeni Jones d’avoir omis de procéder à un recoupement rigoureux de ses sources, de s’être précipitée à donner la parole à des accusateurs intéressés et en prenant soin de ne pas laisser entendre la voix de la personne incriminée dans le reportage, en l’occurrence Monsieur Aliou Sall. Cet article déséquilibré où les faits relatés sont pour une large part erronés appelle les précisions suivantes : Timis corporation a obtenu l’accord du gouvernement du Sénégal pour l’octroi des permis pétroliers Saint-Louis Offshore Profond et Cayar Offshore Profond dès le 17 janvier 2012, soit près de trois mois avant la prestation de serment du nouveau Président élu, Monsieur Macky Sall, frère de Monsieur Aliou Sall.
    En vertu du principe constitutionnel relatif à la continuité de l’Etat, ce dernier n’a fait qu’approuver, entre autres décrets, une décision déjà prise par son prédécesseur. C’est d’ailleurs durant cette période transitoire que les décrets 2012-596 et 2012-597 portant approbation desdits contrats ont été naturellement signés par le nouveau Chef de l’Etat. Il est donc établi que Monsieur Aliou Sall n’a pas été à la base de l’octroi de contrats de concession à
    Timis Corporation. Monsieur Aliou Sall n’a jamais intercédé en faveur de Monsieur Frank Timis en contrepartie de l’octroi d’actions d’une valeur de 3 000 000 de dollars américains dans les sociétés de Monsieur Frank Timis. Les 25 000 dollars dont fait par ailleurs état Madame Mayeni Jones dans ce reportage résultent de salaires régulièrement perçus par Monsieur Aliou Sall en sa qualité de chef du bureau de représentation d’une société présente au Sénégal. Aucun conflit d’intérêt ni aucune violation de la loi ne peut donc être reproché à Monsieur Aliou Sall. Nous tenons à préciser qu’un tel salaire pour une telle fonction est en deçà des rémunérations versées dans le secteur pétrolier à l’époque de sa nomination.

    S’agissant du prétendu virement de 25 0000 dollars américains allégué, il nous plait de redire avec force que cette affirmation ne repose sur aucun fondement sérieux. Cette fausse accusation a fini de jeter l’opprobre sur Monsieur Aliou Sall, car, ce dernier n’a jamais reçu une telle somme destinée à le corrompre pour faciliter les actions de prospections et de recherches de Timis Corporation au Sénégal. Sur cet aspect très important du reportage, Madame Mayeni Jones a fait fi de la version de Monsieur Aliou Sall contenue dans un document écrit transmis à la journaliste par le cabinet d’avocats
    Shillings de Londres. La journaliste Madame Mayeni Jones dit détenir la preuve de la corruption d’un mail échangé entre British pétrolium (Bp) et Monsieur Franck Timis au travers duquel ce dernier aurait réclamé 250 000 dollars au titre des impôts à payer au Sénégal. C’est sur la base de cet e-mail qui ne concernerait en rien Monsieur Aliou Sall que la journaliste a voulu asseoir l’effectivité de la remise d’une telle somme, ce qui ne résulte que de son imagination fertile. Il n’y a jamais eu un transfert de 25 0000 dollars américains effectué par Monsieur Frank Timis dans les comptes de la société Agritrans.
    L’exposé des faits ci-dessus indique selon notre point de vue, que la journaliste Madame Mayeni Jones a méconnu les règles élémentaires de son métier, et a violé les principes éthiques et déontologiques essentiels pourtant consacrés par le code de diffusion de l’Ofcom notamment : l’exigence d’impartialité, la recherche de l’équilibre dans le traitement des nouvelles, l’exactitude de l’information à diffuser ; le respect des droits individuels et le respect du contradictoire.
    Nous estimons que Madame Mayeni Jones a également porté atteinte aux règles établies par la Charte de Munich de 1971 relative aux droits et devoirs du journaliste en ses points 3, 4 et 8 : « Publier seulement les informations dont l’origine est connue ou les accompagner, si c’est nécessaire, des réserves qui s’imposent ; ne pas supprimer les informations essentielles et ne pas altérer les textes et les documents. » « Ne pas user de méthodes déloyales pour obtenir des informations, des photo- graphies et des documents ». 8- « S’interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation, les accusations sans fondement ainsi que de recevoir un quelconque avantage en raison de la publication ou de la suppression d’une information. » Pour toutes ces raisons et toutes autres à déduire ou à suppléer s’il échet, nous avons estimé nécessaire de saisir votre autorité afin qu’une en- quête soit diligentée sur les faits portés à votre connaissance. Recevez les assurances de ma très haute considération. »

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