Objectif 2034 – New Deal technologique : 500 startups, 100 000 diplômés et 95 % de connectivité au Sénégal
Avec le New Deal technologique, le Sénégal figurera parmi les trois principaux exportateurs africains de services numériques à l’horizon 2034. Cette vision repose sur la création de 500 startups labellisées, l’émergence de 50 champions africains, la formation de 100 000 diplômés du numérique et la création cumulative de 350 emplois autonomes. Un taux de connectivité de 95 % sera atteint pour garantir l’inclusion de tous, et 90 % des services seront digitalisés afin d’offrir une administration plus performante au service des citoyens et des entreprises.
C’est ce qu’a affirmé le directeur de cabinet du ministère de la Communication, des Télécommunications et de l’Économie numérique, Mamadou Seck, lors de sa présentation au lancement du New Deal technologique à Diamniadio.
Mamadou Seck a précisé qu’une feuille de route ambitieuse a été définie pour hisser le Sénégal parmi les trois principaux exportateurs africains de services numériques d’ici 2034.
Les principaux objectifs sont les suivants :
- La création de plus de 500 startups labellisées et l’émergence de 50 champions africains afin de stimuler l’innovation et la compétitivité.
- La formation de 100 000 diplômés du numérique issus des cursus scolaires et universitaires pour soutenir la croissance d’une économie digitale dynamique, avec plus de 350 emplois autonomes créés cumulativement.
- L’atteinte d’un taux de connectivité de 95 % afin de garantir l’inclusion de tous.
- La digitalisation de 90 % des services pour rendre l’administration plus performante au service des citoyens et des entreprises.
- Une contribution du numérique à hauteur de 15 % du PIB afin de consolider le rôle stratégique de ce secteur dans le développement national.
Le directeur de cabinet a souligné que le New Deal technologique est un engagement ferme en faveur d’un avenir innovant et souverain. Il a affirmé que le pays dispose du talent, de la vision et de la volonté d’agir. C’est pourquoi l’ensemble des acteurs, aussi bien publics que privés, sont appelés à se joindre à cette dynamique afin de construire une société numérique inclusive et performante.
Le peuple aura dégagé ce régime d’abrutis et d’incompétents bien avant 2034. Que des annonces, coup de comm et slogans creux, rien de concret. Pffff…
On va le répeter il faut impérativement travailler avec les actuers du digital au Sénégal.
C’est avec Atos que Chaka computer est devenue une entreprise en faillite
l ya suffisamment d’acteurs du numérique qui excellent au Sénégal et dans le reste de l’Afrique, à qui on peut donner les gros marchés, ensuite leur accorder des incitations fiscales pour qu’ils puissent faire revenir les meilleurs sénégalais , africains qui travaillent dans les boites internationales et là on pourra parler de Souveraineté numérique.
C’est un marché sensible, très sensible pour le confier à des géants du net ou à des entreprises françaises… Non nous voulons que tout ce qui concerne le numérique soit confier à nos entreprises sénégalaises. C’est tout