Jeudi dernier, le cinéma Pathé a été pris d’assaut pour l’avant-première tant attendue de « Wassanam, Pardon », la dernière création de la réalisatrice sénégalaise Mada Ndiaye. Familles, cinéphiles et journalistes se sont retrouvés autour d’une ambiance chaleureuse et festive, en présence d’Amadou Ba, représentant du ministre de la Culture, venu saluer cette initiative qui célèbre le talent local.
Dans cette série, le spectateur est transporté dans les îles du Saloum, où vit Aïcha Ndiaye, jeune Sérère des Niominkas. Brillante, gracieuse et profondément ancrée dans ses traditions, Aïcha représente une jeunesse pleine de promesses. Sa rencontre avec Malick, avocat venu accompagner des investisseurs dans la région, va bouleverser son destin et la plonger dans une histoire où passions, rêves et traditions se mêlent avec intensité.
Produit par Artmada Prod, la société fondée par Mada Ndiaye, « Wassanam, Pardon » compte 25 épisodes de 26 minutes, chacun révélant des personnages attachants et une intrigue captivante. La série avait déjà fait sensation au festival Dakar Séries 2024, où Oumy Ndong, l’interprète d’Aïcha, a remporté le prix du meilleur espoir féminin pour sa prestation émouvante.
Les amateurs de séries sénégalaises auront le plaisir de découvrir « Wassanam, Pardon » dès octobre 2025 sur WIDO, une œuvre qui promet de mêler émotion, suspense et beauté des traditions locales. Une véritable invitation à plonger dans le Sénégal contemporain, entre modernité et héritage culturel.
Vive la culture attention l islamisation à la sauce des salafiste atomise nos sociétés les fracture en inhibant les valeurs traditionnelles africaines Un peuple sans culture est toujours un peuple tendu et violent il doit être permis de chanter de danser décemment C est préférable l’austérité jihadidte qui menace nos sociétés la colonisation arabo musulmane doit être interrogée On prut croire en allah sans perdre le leg culturel si ce dernier si ce dernier fait que créer une ambiance de convivialité et de détente