Jakartamen : Les autorités allègent le processus de régularisation avec de nouvelles mesures
Une avancée significative a été enregistrée dans le traitement du dossier des conducteurs de motos-taxis Jakarta, en mouvement dans plusieurs localités du pays pour protester contre les nouvelles exigences de régularisation.
Ces derniers dénonçaient le délai de trois mois, jugé trop court, et des frais qu’ils considèrent comme prohibitifs, compte tenu de leur précarité économique.
Face à ces préoccupations, les autorités ont pris trois décisions majeures pour apaiser les tensions et faciliter le processus de régularisation.
D’abord, à Dakar, quatre nouveaux points ont été ajoutés pour accueillir les conducteurs : le CICES, la Patte d’Oie, le Stade de Guédiawaye, Pikine, et Rufisque. Par ailleurs, des commissions mobiles seront déployées dans les chefs-lieux des 14 régions du pays pour simplifier et accélérer l’enrôlement des Jakartamen.
En ce qui concerne la légalisation, les autorités ont également désigné le Commissariat central et les brigades de gendarmerie comme structures de référence pour accompagner les conducteurs dans cette démarche.
Ces mesures visent à alléger le processus et à répondre aux besoins des conducteurs, tout en assurant un cadre réglementaire clair et accessible
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Un état rime avec fermeté et rigueur. On ne gouverne pas un pays en faisant dans le masla. Quand l’état décide quelque chose, l’application où l’exécution doit s’en suivre avant la discussion subséquente et non la reculade adossée à une pusillanimité ne disant pas son nom, c’est ouvrir la brèche avant que les mauvais citoyens ne s’y engouffrent allègrement. Il s’y ajoute que les pouvoirs publics sont enclins à faire le bonheur des citoyens, sans demander leur consentement. À rappeler que l’état c’est tout le monde et l’Etat n’est pas comme tout le monde. De ce point de vue il est du devoir de l’état de prendre des mesures vigoureuses et énergétiques dans l’intérêt des populations pour venir à bout de certaines dérives d’une minorité comme les jakartamen par exemple tout comme les garages et ateliers des mécaniciens et menuiseries métalliques comme en bois qui pullulent partout dans certains quartiers de Dakar, polluant l’environnement et obstruant les passages au grand dam des populations devenues le souffre douleur de ces citoyens de bas étage pour avoir pris en otage la majorité silencieuse qui souffre en silence en ruminant son mal vivre et mal être dans son for intérieur à cause de la tyrannie d’une médiocrité pour ne pas dire une minorité laxiste, incivique et mal éduquée.Que cela cesse et plus jamais ça. En tant que républicain chevillé au corps, je suis et milite en faveur d’un état fort sans complaisance, ni cruauté inutile , ni faiblesse coupable ni parti pris. C’est la meilleure manière de s’en sortir et éviter tout tâtonnement. Le capharnaüm combiné à une permissivité généralisée qui n’a que trop duré dans ce pays et perdure.
Il faut juste leur permettre de payer les frais en 3 versements (3 mois). Cette option existe dans les pays développés.
Un etat qui abdique ,une peine.le projet,???ou en est on avec le fameux projet??
Moi personnellement ,je ne vois qu une augmentation sur certains produits alors faites moi voir ,je vous en conjure ,le projet
On dirige un État avec patience, conscience, expérience et concertation.
aye tapéte lagnou légui nga dégueu niouné c’est gratuit
ayez daure leu si vous remarquez ils n’ont pas supprimé ou revu à la baisse les tarifs maintient rek ayez tapote lagnou légui niouné maintenant c’est gratuit
Un état rime avec fermeté et rigueur. On ne gouverne pas un pays en faisant dans le masla. Quand l’état décide quelque chose, l’application où l’exécution doit s’en suivre avant la discussion subséquente et non la reculade adossée à une pusillanimité ne disant pas son nom, c’est ouvrir la brèche avant que les mauvais citoyens ne s’y engouffrent allègrement. Il s’y ajoute que quand on fait le bonheur des citoyens, on ne doit pas demander leur consentement. À rappeler que l’état c’est tout le monde et l’Etat n’est pas comme tout le monde. De ce point de vue il est du devoir de l’état de prendre des mesures vigoureuses et énergétiques pour venir à bout de certaines dérives d’une minorité comme les jakartamen par exemple tout comme les garages et ateliers des mécaniciens et menuiseries métalliques comme en bois qui pullulent partout dans certains quartiers de Dakar, polluant l’environnement et obstruant les passages au grand dam des populations devenus le souffre douleur de ces citoyens de bas étage pour avoir pris en otage la majorité silencieuse qui souffre en silence en ruminant son mal vivre et mal être dans son for intérieur à cause de la tyrannie d’une médiocrité pour ne pas dire une minorité incivique et mal éduquée.Que cela cesse et plus jamais ça. En tant que républicain chevillé au corps, je suis et milite en faveur d’un état fort sans complaisance, ni cruauté inutile et sans faiblesse coupable ni parti pris. C’est la meilleure manière de s’en sortir et éviter tout tâtonnement. Le capharnaüm combiné à une permissivité généralisée n’a fait que trop duré dans ce pays et perdure.