Diomaye Faye à l’ONU : une MasterClass diplomatique qui hisse le Sénégal au sommet (Par Alpha Thiam)*

Le 25 septembre 2025, à la tribune de la 80ème session ordinaire de l’Assemblée Générale des Nations Unies, le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye a livré un discours d’une rare intensité. Plus qu’une allocution, ce fut une MasterClass diplomatique qui a définitivement inscrit son nom dans le cercle restreint des dirigeants qui marquent leur époque.
Dans un monde traversé par les crises, le président de la République, Son excellence Bassirou diomaye Diakhar Faye a trouvé les mots justes, ceux qui dépassent les clivages pour parler au cœur des peuples. « Nous vivons des moments de fortes turbulences, de défis inédits et d’incertitudes multiples : expansion du terrorisme, persistance de conflits anciens et nouveaux, dérèglement climatique, crise économique profonde, recul de la solidarité internationale et risque élevé de désintégration du multilatéralisme. »
Le cri d’humanité pour Gaza
Le passage le plus marquant restera sans doute son plaidoyer bouleversant pour le Peuple Palestinien. Avec une empathie rare à ce niveau de responsabilité, le Président Faye a osé dire ce que beaucoup taisent : « Gaza terre de larmes, de sang et de sueur, est devenue un enfer pour des millions d’âmes de tous âges, piégées dans une prison à ciel ouvert. »
Et d’ajouter avec fermeté : « Nous ne pouvons ni nous taire, ni détourner notre regard. »
Ces phrases ont traversé les murs de l’ONU comme une onde de choc. Pour le Sénégal, qui préside le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du Peuple Palestinien, elles résonnent comme une exigence d’humanité et de justice. Elles rejoignent les prises de position constantes du Premier ministre Ousmane Sonko, qui n’a jamais cessé de défendre la cause palestinienne, que ce soit à Dakar ou ailleurs.
L’Afrique au centre du jeu diplomatique
Mais le discours n’a pas été seulement compassionnel. Il a aussi affirmé avec force la place de l’Afrique dans le nouvel ordre mondial.
« La paix et la sécurité ont un prix. Donnons-nous les moyens de l’assumer par un financement prévisible et pérenne des opérations de soutien à la paix en Afrique. »
Par ces mots, le Président a renvoyé à la communauté internationale la responsabilité de soutenir le continent non pas par des déclarations de principe, mais par des actes concrets.
Il a aussi dénoncé l’injustice structurelle d’un système international biaisé : « Il ne peut y avoir de justice fondée sur le droit quand ce qui tient lieu d’ordre international est régi par la logique du deux poids deux mesures, la loi du plus fort et l’esprit partisan. »
Une phrase qui résume à elle seule la philosophie souverainiste qui guide aujourd’hui le Sénégal : dire la vérité, même quand elle dérange.
Un Président à la stature internationale
À travers ce discours d’une portée historique et profondément impactante, le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye a définitivement endossé les habits d’un Homme d’État à la stature internationale, reconnu désormais comme l’un des grands leaders de sa génération. Son propos, mêlant humanisme et fermeté, a fait du Sénégal un phare moral dans les tempêtes géopolitiques.
« Alors, faisons de ce 80e anniversaire des Nations unies non pas le constat d’un ordre épuisé, mais le point de départ d’un nouvel espoir : celui d’une Organisation rénovée et plus efficace au service des peuples qu’elle incarne. » Cette phrase, au-delà de son élégance rhétorique, place le Sénégal comme acteur central d’un multilatéralisme repensé.
Un peuple en résonance avec son Président
Au Sénégal, ce discours a trouvé un écho immédiat. Militants du PASTEF, patriotes souverainistes, mais aussi citoyens ordinaires ont salué le courage et la clairvoyance du Chef de l’État. Beaucoup y voient l’illustration parfaite des promesses d’un Projet Souverainiste : un pays debout, parlant vrai, défendant les faibles et exigeant la dignité pour l’Afrique.
« Le véritable obstacle n’est ni financier et technique ni matériel. Il est dans la volonté politique de faire du multilatéralisme un instrument de solidarité collective. » En rappelant cela, le Président a redonné du sens à la politique internationale : remettre l’humain au cœur, replacer la justice au-dessus des rapports de force.
Une voix pour l’histoire
Ce 25 septembre 2025 restera comme un tournant. Le Sénégal a montré, par la voix de son Président, qu’il n’était pas une Nation périphérique mais bien une boussole morale. Avec le président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye et le premier Ministre Ousmane Sonko, le pays assume désormais son rôle : conscience d’un monde en crise, acteur d’un avenir où la dignité humaine et la liberté des peuples ne sont pas négociables.

*Directeur Général de l’ADEPME

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6 commentaires

  1. Kassamouna

    Ces imbéciles qui ont pillé et tué nos pauvres compatriotes ne voient rien de bon pour ce pays. Changer de nationalité avec que vous n’ayez une crise cardiaque bande de cons.


  2. Daouda

    Ndeyssane !!! Je vous plains si c’est comme ça un discours master classe, bienvenue au pays de la médiocrité


  3. Americain

    Bien écrit pour un laudateur

    Plus vous persistez dans vos mensonges et manipulations plus vous vous ridiculisez aux yeux de l’opinion

    M noir jusqu’à croire en vos mensonges est le comble de la déchéance

    Le réveil risque d’être brutal


  4. Ndiaya

    Une master class est facile su pays des médiocres.sais tu que ce discours est de loin selon les spécialistes des universités anglaises le plus décousu,le temporairement structuré de l histoire des discours d homme d état sénégalais aux nations unies?pauvre cireur de chaussures


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