Charte contre la violence: Noo Lank invite les acteurs à œuvrer pour son adoption…
Le collectif Noo Lank réitère l’importance de la charte contre la violence et invite les acteurs à œuvrer pour son adoption…Surtout avant le début de la campagne des prochaines locales pour des élections sans violence. En effet, la question de la violence dans le jeu politique sénégalais devient de plus en plus récurrente et préoccupante pour des raisons évidentes. Que ce soit les violences physiques, les menaces verbales, les répressions policières de manifestations et confrontations partisanes, il est désormais impossible de passer outre le traitement responsable de cette violence.
Initiative…
Dans son communiqué en date du 14 octobre, Noo lank a lancé l’initiative d’une charte contre la violence, proposition qui a reçu un écho favorable de plusieurs acteurs de la société civile et des médias. Le collectif avait annoncé que la charte proposée par Noo Lank était prête à être soumise et discutée avec les différents acteurs politiques pour son adoption.
Prévention…
« C’est pourquoi, Noo lank se réjouit de la tenue d’un atelier sur la prévention des violences ce jeudi, qui sera l’occasion de discuter aussi de la charte avec les autres organisations de la société civile et les religieux pour la porter ensemble. Au sortir de cet atelier, nous aurons l’occasion de mieux développer des actes pour traduire cette charte en actions par sa sensibilisation et l’adhésion des acteurs et organisations à ses principes pour prévenir les faits violents », rapporte un communiqué.
Sanction…
Pour Noo Lank, tous les citoyens doivent, comme un seul homme, rejeter les actes de violence, les appels à la violence, les méthodes violentes, les stratégies d’apeurement, d’où qu’ils viennent. Mieux, il faut sanctionner les acteurs qui feront preuve de violence gratuite. Mais, pour le collectif, dans le fond, il s’agit surtout de prévenir, d’anticiper, de s’organiser pour barrer la route à cette violence. Puisque nous ne sommes pas aussi bons pour traiter les actes de violences, essayons de prévenir plutôt.
Mesures…
« Nous estimons que l’Etat a la responsabilité principale de prévenir et de prendre toutes les mesures nécessaires pour éviter les surchauffes politiques. L’Etat a les moyens de renseignement et d’actions nécessaires pour agir, sans pour autant se comporter de manière excessive. Autrement, il serait le problème. L’excès de violence des forces de l’ordre est un problème connu que les autorités doivent maîtriser et surtout éviter de confondre la sécurité du parti au pouvoir avec la sécurité et la protection des autorités au pouvoir. Il est temps pour tous les acteurs de se mobiliser ensemble pour la paix », a ajouté Noo Lank.
quand on a pas de mère on taite sa grand mère.
yene macky molene financer pour guene bayi marches yi di wakh non violence…..tchiiiiiiim…elections yi mouy sathieu nakk ak listes invalidees de l’opposition YEWWI??? lolou dou violence…..
Des rigolos de service