Bassirou Sarr, secrétaire général de And défar Sénégal, dit être déçu de voir encore en 2014 le Sénégal continuer à incarcérer des hommes politiques sur la base des articles 80, 254 et de tous les articles qui leur ressemblent dans le code pénal.L’article 80 et les autres articles ne sont rien d’autre que des lois d’exceptions, des lois spéciales qui , pendant près de 30 ans, ont contribué à casser de l’opposition, embastiller les opposants pour les mettre hors d’état de nuire.