Abdoulaye Diouf Sarr : « J’ai énormément fait bouger les lignes en matière de santé »

L’ancien ministre de la Santé et nouveau Directeur général du Fonsis, Abdoulaye Diouf Sarr trouve qu’il a énormément fait bouger les lignes en matière de santé.

« Quand le président Macky Sall me confiait le ministère de la Santé, il n’a pas demandé mon avis. Je l’ai appris en même temps que tous les Sénégalais en lisant le communiqué du conseil des ministres. C’est parce que le chef de l’État connaît son homme. Il me fait confiance. Parce qu’on ne peut pas confier un ministère aussi important à quelqu’un qu’on ne consulte pas », révèle Abdoulaye Diouf Sarr dans l’émission « Jury du Dimanche », sur Iradio.

D’après lui, quand il est arrivé au ministère, il a compris que sa feuille de route était claire. Mieux, sa feuille de route était de gérer un système de santé. « On ne me demandait pas d’entrer dans des blocs opératoires pour opérer. On ne me demandait pas d’entrer dans des labos pour faire des analyses. C’était un gestionnaire à qui on a confié un système global », explique-t-il.

Selon le nouveau Directeur général du Fonsis, il a abordé le système de santé dans tous ses aspects de la pyramide pour y apporter des transformations majeures. « Et je sais que, peut-être que ça va heurter ma modestie, j’ai énormément fait bouger les lignes en matière de santé », déclare M. Sarr.

A l’en croire, il a réalisé quatre hôpitaux pendant son magistère, il a transformé totalement la vision de la gestion des ressources humaines en augmentant les bourses de spécialisation, et ils ont fait de Dalal Jamm un hôpital moderne, l’autonomisation de l’oxygène, le renforcement des plateaux techniques.

1 COMMENTAIRE
  • Lamine Diop

    Haaaaa çaaaaaaaa Oui Monsieur l’ancien mineur de la Santé !

    Il ose nous revenir ce slogan irrespectueux après avoir supervisé à la crémation de plusieurs espoirs à venir.
    Oui les lignes éditoriales de des journaux ont plus que bougé, elles ont même explosé.
    Pendant que vous achetiez des ornements floral avec l’argent du COVID nos parents suffoquaient par manque d’oxygène.
    Vaut rien va!
    Le doigt va aussi vers celui avec qui tout les malheurs des Sénégalais sont dû.

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