PRODAC: Le bureau de communication affirme qu’il n ya jamais eu d’exil ni de favoritisme

Suite à l’article paru sur le site Actunet, le 7 mars 2017, faisant état d’un remous au Prodac, le bureau de communication de ladite structure a tenu à démentir ces allégations. Il qualifie ces informations d’erronés. Selon eux il n’y a jamais eu d’exil, ni de favoritisme au sein du Prodac.

Actunet avait publié un article faisant état d’un changement qui a été fait à la tête du Programme des domaines agricoles communautaires (Prodac). Dans cet article, le site avait souligné qu’ « après le départ de Jean Pierre Senghor à la tête du Prodac, le nouveau directeur Mamina Daffé avait affecté les partisans de ce dernier dans des lieux où il n y avait pas grand chose à faire dans le domaine agricole communautaire ».

Dans ce démenti envoyé à Senego, le bureau de communication du Prodac a tenu à préciser que « le Prodac est une institution publique qui fonctionne sur la base hiérarchique. Ainsi depuis  la passation de service entre l’ancien et le nouveau coordonnateur, tous les travailleurs sont placés sous l’autorité de Mamina Daffé« . Dans le soucis de mener à bien la mission qui lui a été confiée par le président de la République, Macky Sall, le nouveau coordonnateur a décidé de mettre à sa disposition toutes les personnes qualifiées pour réussir sa mission. C’est ainsi que, relativement à la communication qui est considérée comme vitrine du programme, il a pris la décision de la confier à une personne qui a la qualification requise.

Dans le but d’éclaircir l’opinion, le bureau a tenu à rappeler que M. El Hadji Guissé, l’une des personnes cité dans cet article, était chargé de presse en ligne et non de la coordination dans la défunte cellule de communication du Prodac. Son affectation au Domaine agricole communautaire de Boudel, ainsi que celui de Louis Philips Sagna de la Rts, à Dodji, répondent aux exigences d’une meilleur utilisation des ressources humaines du programme. Et ils trouveront sur ce site des jeunes diplômés des universités nationales, publiques et privés, et d’autres qui sont rentrés après leurs études de l’étranger.

1 COMMENTAIRE
  • Catch me If you can

    C’est quoi cette article de caniveau, qui l’ont veut prôner ? Le programme ou le bureau de la communication  » qualifié  » ? Depuis quand la communication est vitrine d’un programme ? On ne dit plus soumis à l’autorité… Nous sommes dans un monde de manager, pas en dictature !c’est grâce à l’ancien bureau de communication que nous de la diaspora connaissons très bien ce programme que nous suivons de très prêt.Nous voulons des articles qui montrent les réalisations comme au bon vieux temps et non des dementis qui ne nous mènent nullpart.wasalam

Publiez un commentaire