Yves Niang clashe ses chanteurs qui tuent le Mballakh au profit de l’afro beat
Yves Niang dit être laissé en rade dans la chaîne de solidarité dont tire profit ses pairs artistes. Aujourd’hui, dit-il dans Kër de Sidate, il lui est impossible de se mouvoir dans le show-biz accaparé par ces boys musiciens qui sont nés avec une cuillère d’argent dans la bouche, à l’instar de Waly Seck, veulent supplanter le Mballakh au profit de l’afro beat.
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Wakhofi dara