Urgent – Mali : Démission du Président IBK et de son gouvernement, l’Assemblée nationale dissoute
Le Président Malien Ibrahima Boubacar Keita a annoncé sa démission et de son gouvernement. Il a également dissous l’Assemblée nationale. Cela fait suite à la mutinerie du mardi 18 août ayant occasionné plusieurs arrestations dont lui-même et son Premier ministre, Dr Boubou Cissé.
Au Mali, siège d’une tentative du coup d’Etat mardi 18 août 2020, le président Ibrahima Boubacar Keita et le premier ministre Dr Boubou Cissé ont été arrêtés par les militaires et acheminés au camp de Kati, à 15 km de Bamako.
Coup d’état consommé au 🇲🇱 IBK annonce sa démission et celle du gouvernement pic.twitter.com/K4bTubGIZ2
— in god we struts (@Godisone225) August 19, 2020
Rétrospective
L’opposition, le Mouvement du 5 juin (M5) et le Rassemblement des forces patriotiques, avait exigé la démission du chef de l’Etat et refusé plusieurs fois de faire partie d’un gouvernement d’union nationale.
C’est normal
Tres bien les peuples maliens bien fait
Tu viens de sortir par la grande porte monsieur IBK félicitation pour ce geste noble Macky Sall du Sénégal devrait suivre tes pas pace que le peuple sénégalais n’en veut plus de lui
GESTE NOBLE,TU AS TA CARTE APR.
Certes IBK a démissionné sous la contrainte mais l’histoire risque de se répéter. En effet, c’est du camp de Kati, le 21 mars 2012, alors que les rebelles touaregs avaient lancé une offensive majeure dans le nord du Mali et que les djihadistes affluaient en provenance des pays voisins, que des soldats s’étaient mutinés contre l’inaptitude du gouvernement malien à faire face à la situation.
Ils avaient chassé le président Amadou Toumani Touré qui finira par se réfugier à Dakar avant de retourner à Bamako en 2018.
Le coup d’État avait précipité la chute du nord du Mali aux mains de groupes islamistes armés, qui ont occupé cette région pendant neuf mois avant d’en être en partie chassés par une intervention militaire internationale lancée par la France en janvier 2013 et toujours en cours.
Sous la pression internationale, la junte avait fini par céder le pouvoir à des autorités civiles intérimaires jusqu’à l’élection en 2013 d’Ibrahim Boubacar Keïta.
Une très bonne leçon pour les autres présidents Macky Watara et.conde après le printemp arabe c est à
Nous de changer
C est la france qui est derriere tout cela
Et si nos prési s’occupez mieux de leurs citoyens lambda dans la souffrance, au lieu de leurs familles et amis seulement, il n’y aurait pas de soulèvement. Pas de « morts » pas de vautours.
La France ne fait que profiter du soulèvement d’un peuple fatigué, maitraité par ses dirigeants. Présidents Africains, votre peuple c’est votre bouclier, prenez soin de lui, respectez le, il vous le rendra.
Macky Sall doit prendre ça comme une leçon et partir nos dirigeants aiment trop l pouvoir 1 mandat ou deux mandats tu quitte comme Nelson Mandela l peuple va continuer de t aimer
Je prie pour que le bon dieu sauve le Mali les Boko haram ne sont pas loin et rôde comme des vautours le peuple ne se soucie guère du grand danger qui les guettent des soldats au lieu de sauver la patrie ne pensent qu’à faire des coups d’état des soldats qui à la vue de l’ennemi n »hesite pas à fuir zéro patriotisme
Je me demande pourquoi cette anarchie ? Un groupe d’opposants demander la démission d’un président élu démocratiquement, et soutenu par l’armée. Le future président verra le même sort, car il sera détesté par certains individus et demandera sa démission. L’armée doit respecter les règles constitutionnelles et non de suivre les mouvements d’ oppositions affamés de pouvoir.
Leur position serait légitime en Côte d’Ivoire pour freiner un président affamé et inconscient d’une situation horrible dont il a érrité
c à cause de vous ke les chefs d’états s’accrochent au pouvoir prkw se présenter pour un 3 mandat pdt k la constitution ne le leur permet pas. c prkw les occidentaux ne nous respectent. si un peuple t’a élu démocratiquement pour deux mandats faut avoir la dignité d’organiser des élections transparentes et partir démocratiquement
Il faut savoir partir pendant qu’il est temps