Le gouvernement sénégalais engage une nouvelle étape dans la refondation de la gouvernance publique avec la nomination des membres de l’Office national de lutte contre la corruption (OFNAC). Annoncée dans un communiqué officiel daté du 27 novembre 2025, cette désignation marque la première application d’un processus d’appel à candidatures ouvert, instauré sous l’impulsion du président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye.
Le chef de l’État inscrit cette démarche dans une stratégie plus large de transparence et d’intégrité au sein de l’administration. Conformément à la loi n° 2025-12 du 3 septembre 2025, les membres de l’OFNAC doivent être nommés à l’issue d’une procédure publique et concurrentielle, définie par arrêté du ministère de la Justice. L’avis d’appel à candidatures a ainsi été publié le 6 octobre 2025, après la mise en place d’un comité de sélection chargé d’examiner les dossiers et de conduire les auditions nécessaires.
L’appel a suscité un intérêt considérable, selon le communiqué, avec 233 candidatures issues de profils variés représentant les secteurs essentiels de la société. À l’issue de plusieurs semaines d’analyse, le comité a transmis au président de la République une liste de personnalités jugées compétentes, expérimentées et porteuses de garanties éthiques compatibles avec les missions de l’OFNAC.
Par décret en date du 27 novembre 2025, le président Faye a retenu douze membres. Le magistrat Moustapha Ka est nommé président de l’institution et Birahime Seck, représentant de la société civile, en devient le vice-président. Les autres membres désignés sont : Khadidiatou Ba, experte en suivi-évaluation ; Samba Barry, membre de la société civile ; Ibrahima Fall, administrateur civil ; Mafal Fall, magistrat ; Mademba Gueye, magistrat ; Abdou Aziz Daba Kebe, professeur agrégé des facultés de droit ; Babacar Niang, professeur agrégé des facultés de droit ; Birane Niang, magistrat ; Mohamed Bachir Niang, professeur agrégé des facultés de droit ; et Charles Didier Gane Ngathy Senghor, magistrat.
Le communiqué souligne que cette sélection illustre la volonté du chef de l’État d’installer une institution indépendante et crédible, dotée de compétences diversifiées et dédiée à la lutte contre la corruption. Cette orientation s’inscrit dans un objectif affirmé de probité publique et de préservation de l’intérêt général.

Le président fait un clin d’œil à la société civile
Doumou diotou ndeyame bi rekkk la bagne. Je le deteste ce chien….
Il existe des interrogations dans ces nominations.
Celle du Président Moustapha ka dont on dit qu il était conseiller a la.presidence.cette situation entache la neutralite dans les choix.
Quant a Birahim seck sa nomination est contestable.il.avait participe a des manifestations pour exiger la libération des présumés detourneurs de nos deniers publics. Il n a jamais tenu un point de presse pour condamner ces détournements malgre son statut de societe civile.D ailleurs il s est transforme en.avocat attaquant ouvertement le régime .On se souvient des ses échanges avec le premier ministre.Encore un acte politique poir déranger le premier ministre.
Les ennemis du premier ministre ont actuellement le vent en poupe.
C est pourquoi nous demandons a celui ci de demissionner de retrouver l assamblee nationale et d engager la bataille politique.Nous sommes en politique il faut éviter de perdre du temps. Et du terrain.
2029 C EST MAINTENANT
Il faut nommer aussi un premier ministre
Félicitations bravo maintenant il faut nommer des juges de liberté et des procureur au pouvoir élargie voilà
Bon vent
On s’en fou, vivement qu’il dégage
Birahim seck😳😳😳😳😂😂😂😂