Promotion du « Produire et Consommer Sénégalais » : Le SPIS s’est fermement engagé
Le Salon de l’Industrie s’est tenu au King Fahd Palace les 27 et 28 juin 2024. Organisé par le SPIS, le Syndicat Professionnel des Industries du Sénégal, il regroupe 27 acteurs de l’industrie sénégalaise reconnus, et plusieurs autorités publiques, tous désireux de promouvoir et soutenir durablement l’économie nationale.
Fort d’une expertise conjuguée de ses membres, le SPIS, qui s’exprime au nom des industries
partenaires, a sensibilisé avec succès le grand public et a soutenu activement les acteurs de
l’industrie sénégalaise à travers la réflexion collective du « Produire et Consommer Local », tout au
long des Assises de l’Entreprise de cette année 2024, organisées par le CNP*.
En effet, la situation de l’industrie locale reste un défi majeur à l’heure actuelle (importations de
masse sur des produits pourtant fabriqués localement, taxes locales difficilement soutenables pour
les entreprises, habitudes de consommation parfois trop ancrées au détriment des produits
sénégalais). En parallèle, de nombreuses entreprises œuvrent tous les jours pour produire 100%
localement mais doivent être soutenues par une démarche de consommation engagée au niveau
national.
C’est dans le cadre de cette expo-conférence sur l’Industrie Sénégalaise qu’une charte
d’engagement a été signée par l’ensemble des membres du SPIS, ceci représentant une initiative
collective forte de ce syndicat patronal, pour soutenir l’économie locale. A travers cette charte,
les industries s’engagent à promouvoir une économie sénégalaise durable et à renforcer les liens
entre les producteurs et les consommateurs sénégalais.
Ces engagements industriels reposent sur 8 principes fondamentaux :
1-Prioriser l’achat des matières premières et produits locaux en réduisant de façon significative les
intermédiaires entre les producteurs et les consommateurs,
2-Offrir des produits de haute qualité, respectant les normes environnementales et sanitaires, en
informant en toute transparence les consommateurs sur l’origine des produits et les conditions de
leur production,
3-Réduire l’empreinte carbone et favoriser au maximum le principe d’économie circulaire,
4-Créer des emplois locaux et collaborer avec des entreprises locales,
5-Sensibiliser le grand public et l’accompagner dans leur engagement à consommer sénégalais,
6-encourager l’innovation dans les processus tout en préservant les traditions sénégalaises,
7-Adopter des pratiques commerciales éthiques et solidaire
8-Apporter plus de distinction et de singularité aux produits fabriqués au Sénégal, afin que leur
production locale soit reconnue et certifiée par un label 100% Sénégal.
En tant que porte-voix du secteur privé national, le SPIS continuera de renforcer son message et de
dynamiser de façon collective la voix de nombreux industriels sénégalais, fiers de s’engager dans
la production et la consommation locale à travers leur activité.
Il entend rassembler les consommateurs sénégalais autour d’un mouvement commun qui s’engage à
être acteur de sa consommation, soit d’être des « consom’Acteurs » raisonnés et fiers de leurs convictions.
Il entend créer un lien fort avec les communautés en les aidant à comprendre leur impact sur l’industrie
locale et à assumer leur rôle citoyen, dont les valeurs de consommation ne peuvent que rayonner sur le
territoire.
Aujourd’hui, les membres du SPIS sont convaincus que produire et consommer local est essentiel pour le
développement économique, social et environnemental du Sénégal.
* Le SPIS est membre du Conseil National du Patronat (CNP) du Sénégal.
Les 27 membres industriels du Syndicat Professionnel des Industries du Sénégal
Le Sénégal est prêt pour des jours meilleurs avec ce nouveau gouvernement.
La prochaine fois appeler moi au 76 590 19 57
JE NE CESSE DE LE REPETER, JE N’AI RIEN CONTRE CES ORGANISMES PATRONAUX MAIS ILS ONT DEJA DES MOYENS POUR CREER DES INDUSTRIES ACCOMPAGNEZ LES ADMINISTRATIVEMENT, MAIS SI VOUS VOULEZ ACCOMPAGNER FINANCIÈREMENT, ALLEZ DANS LE MONDE RURAL FILS DE PAYSANS, Y’A DES PORTEURS DE PROJETS AGRICOLES, AGROALIMENTAIRE, AGRO INDUSTRIE ETC..
MAIS IL FAUT ARRETER D’AIDER FINANCIÈREMENT CEUX QUI SONT DÉJÀ RICHES, ALLER À LA BASE.
LE SENEGAL NE VA PAS SE DÉVELOPPER SANS L’AIDE AU MONDE RURAL SURTOUT L’AGRICULTURE.
ÉVITER DE FAIRE DE SORTE QUE CEUX QUI SONT RICHES RESTENT TOUJOURS RICHES ET LES PAUVRES RESTENT TOUJOURS PAUVRES.
EST CE QUE DANS CETTE RENCONTRE ORGANISÉE PAR CNP ET SPIS EST CE LE PAYSAN QUI NE CONNAIT MÊME UN HOTEL MAIS SON CHAMP DE MIL OU D’ARACHIDE A ÉTÉ INVITÉ? NON.
QUE DES LOBYS OU PAYSANS DU DIMANCHE, CHERES AUTORITEES LE SENEGAL NE SE LIMITE PAS A DAKAR.
Le rural est toujours laissé à lui même, il ne peut pas avoir d’audience, il n’arrive pas à être financé, tout ce trame ou se pofine dans les bureaux climatisés à Dakar, allez rencontrer les villageois comme moi,
Tout ce qui se fait sans le paysan se fait contre le paysan.