Projet de Pastef : « Des gens essaient de remettre en cause notre modèle » (Abdou Karim Fofana)

Projet de Pastef : « Des gens essaient de remettre en cause notre modèle » (Abdou Karim Fofana)

Le porte Parole du gouvernement est revenu en long et en large sur le projet de Pastef. Selon Abdou Karim Fofana, des partisans de Ousmane Sonko essaient de remettre en cause nos valeurs et la bonne marche de notre société.

La responsabilité

« Nous avons entendu un de leurs responsables dire que le projet de Pastef était de faire en sorte que les Sénégalais arrêtent de vénérer des humains pour vénérer Dieu. Comme si notre pratique religieuse héritée des saints et de nos confréries était aux antipodes des principes de l’Islam. Des gens essaient de remettre en cause notre modèle. Il faut être conscient de ce qui se passe. Nous sommes un pays de sang mêlé comme le dit souvent le président de la République« , a déclaré Abdou Karim Fofana, ce dimanche, devant le Grand Jury, sur la Rfm. 

Du n’importe quoi

Le porte parole du gouvernement poursuit : « ce modèle pérennisé, par exemple, par Serigne Fallou à travers son soutien à Senghor, il faut le préserver.  Ces personnes qui cherchent à instaurer une forme de tyrannie en divisant les croyants d’une même religion, si elles arrivent au pouvoir que feront-elles des gens issus d’autres religions ? Il faut être conscient qu’ils veulent s’attaquer à notre modèle basé sur l’Islam soufi et sur les confréries (…). »

La division

Le ministre du Commerce, de la Consommation et des Petites et Moyennes Entreprises condamnent les saccages à Touba lors du meeting de Pastef. « Ce qui s’est passé à Touba : une déclaration pour tenir un meeting qui ne respectait pas les normes requises, des gens qui se mettent à casser y compris des boutiques à l’effigie de Serigne Touba. De telles choses ne s’étaient jamais produites à Touba. Cela interpelle (…) Ils utilisent des libertés octroyées par la démocratie pour tenter de détruire la République« , a-t-il regretté.

9 COMMENTAIRES
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    Arrêtez, vous avez tenté à plusieurs reprises de diaboliser Ousmane Sonko et ça n a pas pu passer.Encore,et encore, vous essayez de manipuler les foyers religieux qui ont vomi le gouvernement et ses acolytes.Et les Sénégalais disent basta,basta au régime actuel et que vous continuez à vous enteter.On est conscient que vous êtes en train de faire ,tout ce que vous coller au projet Pastef.Le ridicule ne tue pas.Le changement de régime s impose.Prenez vos bagages et partez tranquillement.C est mieux.

  • D.Diop

    bla bla bla quelque soit le prochain régime le Sénégal restera un pays laïque et tolérant, il y a des discours qui sèment la zizanie malheureusement

  • cheikh Tourè

    Le ministre a raison. Des gens sont en train de détruire un pays qu elles n ont construit. Un pays qui leur a tout donné en commençant par une bonne instruction dans les écoles

  • Seck

    seck

  • ndioba

    Il n y a plus malhonnête que ce ministron. Heureusement que les senegalais sont au moins aussi intelligents que lui

  • Diallo

    Il est temps que l armee prend ses responsabilités avant que les terroristes n AGISSENT PUIS QUE BEAUCOUPS DE JEUNES COMME DES ROBOTS Y INTEGRES SANS RÉFLÉCHIR

  • T

    Ce garçon très activiste , compétent , entreprenant a malheureusement choisi le mauvais côté de l’histoire . Chacun a son destin et lui semble avoir celui de laudateur. C’est vraiment dommage .,

  • BAXAM

    CE GUIGNOL DE MINISTRON DE MERDE NOUS POMPE L AIRE ESPÈCE DE TRANSUMANT LE PEUPLE EST EN OTAGE PAR UNE MINORITÉ DE PERSONNE EN COMPLICITÉ AVEC LA SÉCURITÉ ET LA JUSTICE CORROMPU CHÈRE JEUNESSE SÉNÉGALAISE YEWOULENE CES DICTATEURS VAUTOURS COMPLOTEURS ASSASSINS MANIPULATEURS MENTEURS VOLEURS CRIMINELS DEUMS DE MERDE SANS VERGOGNE NI FOIE NI DIGNITÉ SONT LÀ QUE POUR LEUR PROPRE INTÉRÊT YEWOULENE GATSA GATSA REK INCHALAH

  • anonyme

    SONKO EST UN DANGER POUR LE SENEGAL. derrière SONKO vous avez les salafistes IBADOUS anti tarikhas et le parti dahira PUR violents. chers compatriotes reveillez vous avant qu’il soit trop tard pour sauver notre pays.

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