Faute d’infrastructures pouvant évacuer les eaux de pluie, le « pont de l’émergence » fait plonger plusieurs ménages de la Cité millionnaire de Grand Yoff dans un total désarroi. C’est dans la plus grande stupeur que Bassirou Sambe, chef de cabinet du maire de Grand Yoff, a joint la rédaction de Senego afin de nous faire part de son amertume. « Nous avons constaté une situation qui nous a alerté au niveau de la cité, juste à côté du pont de l’émergence. Les travaux inachevés ont provoqué le refoulement des eaux usées qui ont fini par envahir la quasi totalité des maisons, la mosquée et même l’école« , confie M. Sambe.
Il interpelle les autorités à faire pression sur l’Office nationale de l’assainissment du sénégal (Onas) qui tarde à réagir, malgré qu’elle ait été interpellée par les habitants du quartier. « Le pont, en phase de finition, risque de coûter cher à la population de Grand Yoff. Ce qui nécessite aujourd’hui une concertation entre les populations, les autorités locales et l’Etat afin de trouver des solutions. Il est urgent d’en trouver car nous craignons d’autres dégâts lors des prochaines pluies« , propose t-il. Car, selon toujours notre interlocuteur, la Cité millionnaire est, comme qui dirait, « ceinturée » par le pont.
Ainsi, M. Bassirou Sambe appelle encore une fois de plus, l’Etat et le ministère en charge des inondations, d’ouvrir des négociations en vue d’une solution strcturelle. Et notre interlocuteur poursuit : « Il y a deux jours les population s’étaient levées pour alerter sur les dangers. Il était prévu, dans le plan initial une route qui passe au niveau de la cité. Mais à notre grande surprise rien a été fait, les deux routes principales qui passent à la Cité millionnaire ont été fermées. » Vu la situation, il interpelle sur les dangers des maladies qui risquent de naître de ces eaux usées.
Pour l’heure, ils sont des dizaines de maisons à patauger dans les eaux. Et le chef de cabinet du maire de Grand Yoff de nous confier que les services municipaux sont en train de recenser ces ménages inondés, en attendant de trouver des solutions. Car l’eau est en train de traverser le pont, au risque d’inonder le marché, les quartiers Arafat, Djidda, Macka, entre autres.
Voyez les images de vous même.
On ne peut pas faire d’omelette sans casser des oeufs. Il faut déguerpir les environs immédiats de l’échangeur. Quand on construit on ne pas être laxiste ou peureux pour prendre les décisions qui s’imposent. Comment peut on faire un ouvrage pareil coincé entre des immeubles et un « garage » de NDiaga NDiaye et de Taxis bagages Peuls Fouta? Pour ce qui est de l’Onas son cas est effarant. Elle peine à régler le moindre problème. Mais jetez un coup d’oeil aux caniveaux de Grand Yoff ils n’évacuent plus rien étant tous bouchés par toutes sortes de détritus; pneus usés, morceaux de dalles qui servaient de fermeture etc. Pourquoi ne doterait-on pas l’Onas d’une quinzaine de camions hydro cureurs prépositionnés à autant de secteurs dont la ville serait divisée à chaque hivernage?
VOUS ÊTES NULS LES SÉNÉGALAIS.WAKH REKK.
MÊME PAS FOUTUS DE CONSTRUIRE UN PONT AVEC VOS ENTREPRISES.
c’est normale un nullard ne la pas construit
Confirmation de la nullite et l imcompetence de wax waxett Sall devenu le Lion qui dort lui ki jubilait deja .Le pont est a l image de l emergence du Senegal ki est a son tour a ton image :la degrongolade Mr le Lion dormeur boulassi dara dieule
li dou yone kham nguen né li metina pont bi pont bi ndékètè fitna rèk la nara dioure akh rèk