Des rapports concordants, notamment du New York Times, de CNN et d’experts indépendants, indiquent que l’Iran aurait déplacé une partie importante de son uranium enrichi à 60 % avant les frappes américaines du 22 juin 2025 contre ses principaux sites nucléaires à Fordo, Natanz et Ispahan.
Les bombes anti-bunker GBU-57 et missiles de croisière Tomahawk utilisés par les forces américaines ont causé des dégâts importants aux infrastructures, mais les composants clés du programme nucléaire n’ont pas été entièrement détruits, selon des évaluations préliminaires des services de renseignement américains.
Selon des experts, ces attaques n’ont probablement retardé le programme nucléaire iranien que de quelques mois, les stocks restants et le savoir-faire technique intact permettant à Téhéran de rapidement relancer ses activités. L’Iran, de son côté, réaffirme la poursuite de ses activités nucléaires, soulignant la résilience et la profondeur stratégique de son programme.
En résumé, tout ceci pour ça !