Liberté de la Presse : « Le Sénégal dégringole, je m’y attendais », Un doyen de la Presse
La place du Sénégal dans le Classement mondial de la liberté de la presse 2023, 104e, ne surprend guère ce doyen de la presse Sénégalaise.
Cette position pas du tout enviable pour la presse sénégalaise, Martin Faye, ancien de la RTS, s’y attendait, sans coup férir.
« Le Sénégal dégringole. Je m’y attendais avec toutes entraves et menaces sur les médias et les journalistes, 49ieme en 2021. 73ieme en 2022… » crache dépité le journaliste de Fondation Hirondelle Chargé de mission
Classement €RSF. Le #Senegal dégringole. Je m'y attendais avec toutes entraves et menaces sur les médias et les journalistes
49ieme en 2021. 73ieme en 2022 pic.twitter.com/g0Wo3XMpvT— MARTIN FAYE (@MartinfayeMf) May 2, 2023
Ce n’est pas l’opinion de certains groupes de personnes qui compte. Ces votre développement et la bonne manière.
je suis honte de mon pays avec macky on peux entend de tout désolée
qu’est ce qui emmené cela , il faut voir la qualité des journalistes que nous avons actuellement, disons nous la vérité, nous avons les plus mauvais journalistes, des alimentaires, des politiciens des rancuniers bien sûr il ya des exceptions
il faut faire l’introspection des politiciens journalistes, trop ces trop, pape Ndiaye , thiorio Mandela et l’autre qui hospitalisé qu’est ce qui les as emmené en prison , pape Alé lui ne se considère plus journalistes ni politiciens plutôt un rancuniers
s’il ya des fautes d’écriture je suis pas agrégé en français
Donc un journaliste peut commettere des delits sans repondre a la justice. .
pourtant les menaces chaque jours par des pastefiens sans que personne n en parle.
L infiltration des pastefiens dans les redactions et plateaux est visible mais personne n en parle.
Des journalistes manipulateurs contre le regime en favorisant sonko sont tres visibles.
Des lobbistes journalistes avec leurs complices senegalais qui veulent ternir l Image du Senegal. C est une sorte de pression mais ca ne passera pas.
Tout à fait normal, une presse sans journalistes formés voici le résultat.
Mieux vaut dégringoler avec ces critères absurdes que de voir des journalistes politiciens enflammer le pays avec des services rendus à l’opposition par le mensonges et la diffamation.