Les îles du Saloum sous le joug de la « mafia de l’eau »

Les populations des îles du Saloum ont soif, après 33 jours sans eau.

Les investigations du quotidien Libération mettent en cause la Société d’exploitation des ouvrages hydrauliques (Seoh), une société privée contrôlée par des capitaux étrangers.

Selon le journal, « ce n’est pas la Sde, mais bien la Seoh, qui est délégataire du service public dans les Îles du Saloum ».

Une vraie catastrophe pour les populations qui n’arrivent pas à avoir une eau potable, alors que0 des exploitants agricoles de la zone sont régulièrement approvisionnés par un réseau parallèle, dont les tenants ont été formellement identifiés.

Libération interpelle les autorités étatiques sur la « mafia de l’eau » qui a pris en otage les populations.

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