Ibrahima Lissa Faye : « La presse en ligne souffre… »

« Il n’y a pas de solutions en vue dans le moyen terme« , selon Ibrahima Lissa Faye. Le journaliste fait un diagnostic alarmant de la situation de la presse en ligne.

Alerte…

« La presse en ligne souffre. Les pertes cumulées sont énormes. Il y en a qui pensent déjà à réduire leur personnel, d’autres à quitter leurs locaux parce qu’ils n’arrivent plus à payer le loyer. On souffre. Si certains ont tenu jusqu’ici, ce n’est pas évident qu’ils puissent le faire pendant longtemps encore. Il n’y a pas de solutions en vue dans le moyen terme« , regrette le Président de l’Association des professionnels de la presse en ligne (Appel), sur webnews, repris par Seneweb.

« Supprimer certains postes de dépenses…« 

Ibrahima Lissa Faye de poursuivre : « Sans le soutien de l’État, on ne peut pas s’en sortir. Il ne faut pas que cela soit des miettes. Sinon on risque de tomber dans les mêmes travers. Il y a aussi les charges fiscales qui vont arriver. Parce qu’elles n’ont pas été supprimées, mais reportées… Il faudra supprimer certains postes de dépenses. Sinon on ne va pas tenir. Aujourd’hui tout le monde est touché.« 

2 COMMENTAIRES
  • BAYE ISSA

    Qu’est-ce que vous rapportez au contribuable sénégalais.
    Ne me parlez de liberté d’expression, car vous ne dites que des conneries.

    Les travailleurs et commerçants paient trop d’impôts pour des futilités ( gouvernement pléthorique, presse nulle, griots du Covic 19, émigrés emmerdants qui ne paient aucun impôt au Sénégal etc etc…)
    Le travailleur, les entreprises productives et le commerçant sont sur-imposés pour entretenir une horde de paresseux.
    Il faut penser aux pauvres paysans, aux malades etc…

  • Malick Diallo

    ce gouvernement nont ka voir le probleme de la presse en ligne il font partie du pays ya de largent dailleur ya certainnes institutions quont doit faire disparaitre jusqua nouvelle ordre pour satisfaire les autres societès pour quil puissent survivre ya certainnes institutions ont pas leur raison ces unuquement pour satisfaire le clientisme politicos politiciennnes cest toujoure le systeme qui se font satisfaire eux memes les uns vie les autres ne vie pas de 1960 a maintenant ce sont les corprations qui vie il senrrichient sur le dos des pauvres senegalais le cadeaux ces pour tous pas seulement les sales politiciens.il detruient ce pays. chacun cherche son intèret. un pays de griotismes les plus grand flatteursce trouve un wui sappele le senegal ont parle trop ont danse trop sans rien faire .ce paysest tres enretard nos gouvernants sont nule a cause dintèret personnels mentalitè zeros lafrique est une sociètè de consomations lafricains nestpas degourdie ces des sociète qui passent leur vie en aveugle.tous les chefs detats de 1960 a maintenant il sontfaitunechec cuisant ya combien de milliards gaspilĺer en afrique sa ne profite pas a nos citoiyens lafrique regresse de jour en jour

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