Des inspecteurs des Sports entament une grève de la faim et exigent leur recrutement

Grève de la faim illimitée jusqu’à la satisfaction totale de leurs doléances. Les 14 inspecteurs de l’éducation populaire de la Jeunesse et des Sports, sortant de l’Institut national supérieur de l’éducation populaire et du sport (Inseps) en 2017 ont commencé leur diète ce mardi. Ils réclament aux autorités la signature du décret portant sur leur nomination et titularisation.

« Ce 31 juillet 2018, cela fait exactement un an que nous attendons notre prise de service. Nous avons rencontré les autorités impliquées dans ce processus et depuis un an, nous attendons désespéramment. C’est de l’injustice, un manque de considération envers la jeunesse et envers le sport »
, a dit Moussa Grégoire Faye, Coordonnateur du collectif des inspecteurs de l’éducation retrouvé ce matin devant la Direction Générale de l’INSEPS au stade Iba Mar DIOP.

Recrutés par le ministère des sports depuis le mois d’octobre 2017, les concernés « peinent à entrer dans leur fonction légale à cause des lenteurs administratives ».

4 COMMENTAIRES
  • Birame Ndoye

    VOUS AVEZ TOUT À FAIT LE DROIT D’EXIGER UN POSTE DE TRAVAIL COMME TOUT CITOYEN FORMÉ ET DIPLÔMÉ.
    MAIS LA RELIGION MUSULMANE COMME CHRÉTIENNE INTERDIT TOUTE GRÈVE DE LA FAIM CAR CELUI QUI EN MEURT SERA JUGÉ COMME UN SUICIDÉ.
    CHERCHEZ UNE AUTRE VOIE.

  • Leuz

    Purééé rien ne va dans ce pays , normal on est dirigé par des cafards !

  • Aida Faye

    Geum leen sen bopp moo geune ngeen deff grève de la faim. Cela n’a pas d’importance. Vous êtes des intellectuels majeurs et vaccinés vous devez pouvoir combattre l’injustice d’une autre manière que faire de la grève de la faim devant vos fils et vos filles. Agissez comme Bougane je crois que c’est ça la solution.

  • Moussa Ka

    Si il y’a une problème dans un pays il faut le régler a sa manière.Ce gouvernement a la tête contre les populations et il faut qu’on le corrige avant qu’il ne soit trop tard. Ligueye leen ndakh deuk bi am téranga. Pas entre les mains de ces hommes mais plutôt avec des acteurs de développement.

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