Dans une réplique cinglante, Babacar Sarr Beugue Bamba, Chargé de communication de PASTEF TOUBA, répond à Mame Mactar Guèye après ses critiques à l’encontre du leader de Pastef, Ousmane Sonko, sur la question de l’homosexualité au Sénégal. Accusant Mame Mactar Guèye de réagir avec précipitation et de compromettre sa crédibilité, Babacar Sarr Beugue Bamba souligne l’importance de comprendre le discours dans son ensemble.
Texte in extenso :
Mame Makhtar Gueye monte au créneau, confond vitesse et précipitation, chute et blesse sa crédibilité.
Mame Makhtar pourquoi avez-vous choisi de vous agripper au mot « tolérer » et ignorer royalement le mot « Casus belli » ?
Est ce que vous avez réellement écouté l’intégralité du discours de Ousmane SONKO sur l’homosexualité ?
Mame Makhtar, tolérer ne signifie pas accepter, tolérer ne signifie pas non plus légaliser.
La criminalisation de l’homosexualité doit forcément passer par une procédure législative.
Donc entendez par « tolérer » qu’aucune sanction criminelle ne pourra être infligée aux homosexuels d’ici la législation de la criminalisation.
La position de Ousmane SONKO et du parti PASTEF sur la question de l’homosexualité n’a pas varié et ne variera d’un iota.
Nous sommes et nous resterons contre.
Ousmane SONKO a été plus catégorique et plus courageux que n’importe quel homme politique sur cette question.
Un Casus belli !!!
Voilà l’expression qu’il a utilisé pour remonter les bretelles aux puissants promoteurs de l’homosexualité.
Alors Mame Makhtar, quand Ousmane SONKO va jusqu’à assimiler le fait nous imposer l’homosexualité à une déclaration de guerre, cela doit vous suffire largement si vous êtes animé d’une bonne foi.
Celui qui se dresse face aux puissants prometteurs, ne laissera pas du terrain aux acteurs.
Votre foi ne surpasse la nôtre
Votre moralité ne surpasse pas la nôtre
Donc calmez-vous et soyez rassuré.
Babacar Sarr Beugue Bamba
Chargé de communication
PASTEF TOUBA
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