Le ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération a présidé vendredi l’ouverture de l’atelier de validation de l’audit genre du MEPC. Et l’ambition de M. Amadou Hott est de relever de manière substantielle le pourcentage de femmes dans les effectifs et le top management.
Egalité des chances
L’atelier de validation politique de l’Audit Genre, initié par MEPC, à travers la Cellule Genre et Equité, en partenariat avec ONU Femmes et le ministère en charge de la Femme, a permis au ministre à M. Amadou Hott de souligner que l’objectif, est de faire de son département, « un ministère sans discrimination, où les hommes et les femmes auront les mêmes chances de participer à son rayonnement pour l’émergence de notre pays dans l’équité et la solidarité ».
Des femmes dans le top management
Le ministre a rappelé avoir nommé des femmes au sein de son cabinet, mais également à la tête de directions stratégiques comme l’Inspection des Affaires administratives et financières, la Direction du Développement du Secteur Privé et la Direction du Suivi et de l’Evaluation de la Performance des Projets.
Mme Thérèze Faye Diouf dirige l’une des 3 entités sous tutelle, à savoir le FONGIP. 33 % des postes de direction sont occupées par des femmes.
« Connaissant la valeur ajoutée de la femme dans toute organisation, mon ambition est de relever de manière substantielle le pourcentage de femmes dans les effectifs et le top management », a mentionné M. Hott.
Etablissement d’un plan
Une ambition, dit-il, qui pourra être matérialisée progressivement grâce à l’audit qui doit conduire à l’institutionnalisation de la problématique du genre. Ce plan va déterminer les modalités et actions à développer pour renforcer les capacités humaines, organisationnelles et techniques du ministère sur la dimension genre.