Afrique du Sud : Le Concours « Miss Afrique du Sud » ouvert aux homosexuels

Le concours de beauté Miss Afrique du Sud autorise pour la première fois des transgenres à participer. Une petite révolution saluée par de nombreux Sud-Africains mercredi, notamment sur les réseaux sociaux.

Les inscriptions au concours national ont été ouvertes lundi sans fanfare, pour désigner la prochaine reine de beauté.

« Les femmes transgenres peuvent participer au concours de Miss Afrique du Sud », a déclaré l’organisation Miss SA sur son site. « Toutefois, pour pouvoir concourir au niveau international, la candidate doit être en possession d’une pièce d’identité sud-africaine valide indiquant que son sexe modifié est féminin. »

« Nous méritons toutes cette chance et cette grâce », « L’inclusion enfin sur scène », s’exclamaient notamment des internautes sur Twitter mercredi, tandis qu’un militant LGBT se disait « impatient que la première transgenre soit couronnée Miss Afrique du Sud pour nous représenter au concours de Miss Univers ».

L’homosexualité est légale dans ce pays d’Afrique australe, tandis qu’ailleurs sur le continent l’homophobie reste virulente dans de nombreuses régions.

Le concours de « Miss SA » avait déjà été salué pour ses options progressistes lorsqu’il avait défié des normes de beauté un peu dépassées en couronnant en 2019 Zozibini Tunzi, une femme aux cheveux courts et au teint foncé.

Cette reine de beauté a ensuite marqué l’histoire en devenant la première Miss Univers portant une coupe courte et naturelle la même année, faisant d’elle une idole instantanée.

En 2018, le concours Miss Univers avait mis en vedette Miss Espagne, Angela Ponce, pionnière en tant que première candidate transgenre au titre.

15 COMMENTAIRES
  • Le sage

    C des sauvages on les impose tout

  • Cheikh Ndiaye

    concour missmom ban ndiaringe laam

  • ASS

    n’importe quoi

  • abo

    Malédiction

  • Djibson

    Senegais yi niou kaas parle que soit disant Europe da leen beugue imposer ses règles, waaye nioom ils ne se gênent pas pour juger des Sud-africains qui ont droit de faire lou leen neekh nioom tam, am deet? Sénégalais, le tour et son contraire.

    • Le sage

      Vous connaissez pas l Afrique du Sud j ai fait 18ans une population africaine innocente sui ne revendique plus rien depuis la fin de l apartheid

      • Djibson

        C’est peut-être vrai li nga wakh. Waaye ils ne vont quand même pas , logiquement en tout cas, prôner la discrimination contre les homosexuels, après avoir appelé à la la fin de l’apartheid. Ils se contrdiraient. L’apartheid racial ou sexuel, quelle différence ?

  • Mamie

    En quoi cette info nous interesse arrêter de pervertir la société

  • mica635 kalli

    senego yenn niii di publier affairou goorr djiguennn amme ngenn sii bakarr…ndakh yenn ngi di siwall amm ngenn part de responsabilité kerookkk yamalkhayamm..

    • Djibson

      Sa kerok bobou est hypothétique. Discrimination envers vos compatriotes au nom de trucs bidons judéo-christiano- arabes archaïques que leurs concepteurs mêmes abandonnent, loolou nga wora wakh Senego bâayi du alimenter à coups d’articles répétés et tapageurs.

  • tex

    Un pays de couillons sauvages

  • A.T

    Que dieu les mets dans le droit chemin.

  • Mansour Gassama

    si un jour l’union africaine devait se réaliser , je pense que le Sénégal devra refuser de s’unir avec tout pays africain qui légalisera l’homosexualité . Maintenant , il est temps de corser les conditions pour l’union africaine . Pas question de saborder nos valeurs . Sinon , cela ne servirait à rien de combattre ce mal dans notre pays . Mansour Gassama de fatick depuis Nice

    • Djibson

      « Nos  » valeurs ? C’est pas sûr .

  • rené Diagne

    c est ça l Afrique. on a un impératif d union et certains pays adoptent des contrevaleurs..

Publiez un commentaire