Un Français vivant au Sénégal, accusé d’avoir insulté le président Diomaye Faye, a été arrêté et jugé
Patrice Ripert, ancien militaire français de 73 ans, a été acquitté par le tribunal des flagrants délits de Dakar mercredi 11 décembre 2024. Accusé d’avoir insulté le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye, il a bénéficié d’un non-lieu en raison du doute entourant les faits.
Selon Les Échos, l’incident remonte à une altercation survenue à Ouakam, dans un point de transfert d’argent. Le gendarme Alarba Baldé a rapporté que Ripert aurait traité le président de « déséquilibré », tout en critiquant son choix de rapatrier des militaires français. Ripert, qui maîtrise le wolof, a réfuté ces accusations, expliquant qu’il avait simplement dit que le chef de l’État « déconnait » avant de présenter des excuses.
Le procureur a reconnu que les faits reprochés semblaient avérés. Toutefois, il a plaidé pour une démarche d’apaisement, estimant qu’une peine de prison ferme n’était pas nécessaire en raison des excuses formulées par Ripert.
Me Souleymane Soumaré, avocat de la défense, a plaidé en faveur de son client en insistant sur son intégration et son affection pour le Sénégal. « Patrice a affirmé que Diomaye est son président. Il possède même des photos de Diomaye et de Sonko sur sa moto, preuve de son respect », a-t-il déclaré. Il a également rappelé l’attachement de Ripert au pays, où il a choisi de résider malgré la présence de sa famille en France.
Chers francais, si vous êtes en Afrique pour aider, bravo mais ils disent qu’ils n’ont pas besoin d’aide, de grâce partez en paix. De Gaulle avait dit aux américains qui vous ont libérer de partir quand ils ont voulu installer des bases et une monnaie en France. Les américains sont partis sans tambour ni trompettte. Ayez un peu de dignité, ce qui était n’est plus, et sera plus jamais
Merçi au français
Il faut le bien corriger et l amener à la prison de kolda ou Tamba
Le départ des forces françaises du Sénégal.
Le Sénégal a besoin d’un partenaire stratégique, à la fois membre du conseil de sécurité des nations unies et détenteur de l’arme nucléaire. Pour la simple et bonne raison suivante : les ressources du Sénégal ne peuvent pas être destinées à l’arme nucléaire ni à des dépenses prohibitives de sécurité et de défense. Il doit les sous-traiter afin de mieux s’occuper de secteurs aussi prioritaires que sont la santé, l’éducation, la justice, l’environnement et la prise en charge des problèmes des jeunes qui représentent 70 % de la population.
Ne pas remplacer une puissance par une autre puissance, et ne pas admettre des « mercenaires » pour défendre la souveraineté du Sénégal.
Cependant le Sénégal n’aspire pas à remplacer une puissance par une autre, il veut simplement dialoguer, coopérer et assumer sa souveraineté dans un monde où tous les pays sont devenus interdépendants. Le Sénégal n’est pas non plus à la recherche de « mercenaires », d’une défense privée, payée rubis sur l’ongle à partir de ressources naturelles. Les ressources minières, et naturelles, plus généralement, de beaucoup de pays africains sont en train d’être pillées par des bandits et des gangsters de tout acabit. Parfois des méthodes expéditives ont court dans des lieux d’exploitation : un système de troc, des minerais bruts extraits et expédiés en Europe par des vols directs d’avions à partir de pistes spécialement aménagées sous la surveillance serrée et vigilante de mercenaires armés jusqu’aux dents.
Or, le Sénégal veut simplement un accompagnement juste, équilibré et équitable pour assumer sa souveraineté sur tous les plans. Tel est le cahier de charges soumis aux nations éprises des principes de liberté, de justice, de paix, d’égalité, de démocratie et de l’épanouissement intégral de l’être humain sans distinction de race, de couleur et de religion. Le choix d’un partenaire stratégique dans un benchmark entre la Chine, la France, la Grande Bretagne, la Russie et les U.S.A.
Ce débat qui est ouvert, devrait être un moment d’échanges et de partages, codé, important et sérieux à l’intérieur de la « grande muette ». Parce qu’il s’agit d’aider les autorités politiques, élues, légitimes et légales à faire le choix d’un partenaire stratégique de la défense nationale du Sénégal. Car il faut sous-traiter, les performances de l’intelligence artificielle, l’arme nucléaire, la patrouille des sous-marins, les surveillances par les satellites de l’air et de l’espace sénégalais, les projections stratégiques et les déploiements de matériels de combats et de guerre à haute performance, et le droit de veto au secrétariat du conseil de sécurité de l’organisation des nations unies. Puisque nous savons tous, et nous sommes tous d’accord que la défense nationale du Sénégal n’a pas de prix ; mais elle a un coût qui peut être très élevé.
Pas de mercenaires et de milices privées
Beaucoup de fonctions d’un gouvernement efficace peuvent être privatisées, mais la défense nationale fait partie des rares exceptions comme le souligne le grand penseur et prix Nobel d’économie Milton Friedman[iii]. Par conséquent il ne faut surtout pas de mercenaires ou de milices privées pour défendre les frontières et l’unité nationale.
Un débat fondamental est ainsi posé. Ce dernier bien que confidentiel doit être inclusif car il est important et sérieux.
Ce débat ne doit pas donc être une discussion de café de commerce, un « wakh sa khalat[iv] », au cours de laquelle des officiers généraux, supérieurs ou subalternes, des sous-officiers, et des militaires du rang sont jetés en pâture dans les médias et réseaux sociaux comme des pro ou anti Chine, France, Grande Bretagne, Russie ou USA.
La qualité première de pro Sénégal de tout militaire sénégalais est indiscutable et non négociable.
Les spécialistes autoproclamés des questions de défense et de sécurité devraient être mis face à leurs responsabilités avec des éventualités de poursuite pour atteinte « au moral des forces de défense et de sécurité ».
Et enfin la direction de l’information et des relations publiques des armées (la dirpa) et le bureau des officiers généraux du ministère de forces armées (MFA) pourraient communiquer efficacement afin de garder intacte l’image de respect et de considération que nos concitoyens ont de leurs forces armées et du haut commandement militaire qui les dirige.
Nos élites militaires, nos officiers généraux et supérieurs, nos fonctionnaires civils de l’école de guerre et de l’institut de défense du Sénégal du camp général Idrissa Fall de Dakar ont tout intérêt à mettre ce sujet au centre de leurs préoccupations.
S’attacher les services des « cinq majeurs » du conseil de sécurité de l’ONU.
Par ailleurs, les ambitions démesurées, et les désirs effrénés de valorisation sur les réseaux sociaux de quelques militaires ne devraient pas les inciter à propager des fausses nouvelles pouvant atteindre le moral de la troupe. Les forces armées sont actuellement à des niveaux de standards très élevés grâce à leur professionnalisme, à leur cohésion et à leur esprit de corps.
Mais elles ne doivent pas se reposer sur leurs lauriers. Car les choses bougent et les équilibres sont instables.
Ce sujet est de la plus haute et grande importance. Il déterminera l’avenir de plusieurs générations de soldats sénégalais. Mais le benchmark de l’offre de partenariat sera fait dans un mouchoir de poche Où nous trouvons par ordre alphabétique la Chine, la France, la Grande Bretagne, la Russie et les U.S.A.
La compétition ainsi ouverte sera intense sûrement. Les critères objectifs de sélection sont faciles à déterminer (arme nucléaire, balance des forces, performance des accords de défense et de sécurité, droit de veto à l’ONU, indices humains de développement (espérance de vie, niveau d’éducation, revenus), PIB etc.). L’indication exclusive de choix du temps de la guerre froide basée sur l’idéologie est dépassée.
Colonel Spartacus
Cey Sénégal !!!
Extrait article Afrique confidentielle : « Les hauts gradés de l’armée ont leur mot à dire. Or, il s’est trouvé que les généraux de l’armée sénégalaise s’opposent à la fermeture des bases militaires françaises. La raison est simple : l’armée sénégalaise développe un partenariat très fécond avec l’armée française en termes de formation, de coopération militaire, et d’échange de renseignements. Les bases militaires françaises comptent des outils techniques qui aident l’armée sénégalaise dans sa lutte contre l’insécurité. L’armée française aide aussi le ministère de la Pêche dans les patrouilles maritimes pour lutter contre la pêche illicite et clandestine. À chaque sortie, ce sont les avions de l’armée française qui sont utilisés pour mener ces patrouilles avec la Direction de la surveillance maritime. Toutes ces patrouilles sont faites aux frais de l’armée française. Les pays africains ont plus à perdre qu’à gagner dans cette fermeture des bases militaires ».
Sans compter que tous nos généraux presque ont été formés à Saint-Cyr ou à l’école de guerre en France et quelques uns aux USA !
A méditer avant toute décision politicienne populiste. La sécurité et l’intérêt du Sénégal avant tout.
Le CFA qui est imprime en France sert a payer ces factures,ne t inquiete pas ,chaque pays s est battu pour assurer sa securite sans la deleguer.S il ne dependait que de vous nous vivrions encore des siecles sous l imperialisme francais qui nous a relegue au rang des pays pauvres.Apres 64 ans de neo-colonialisme,il est etmps de voler de nos propres ailes,ce qui ne veut pas dire anti-francais, nous sommes pro-africains et c est tres different.
« IL A ETE ARRÊTÉ ET JUGÉ »
THIEY JOURNALISTES SÉNÉGAL : TAAL AY REK, TAAL AY REK LANIOU DEFF MOUY INFORMATION