Injures contre Diomaye Faye : Un militaire français à la retraite évite la condamnation
Ripert Patrice, un ancien militaire français résidant au Sénégal, a échappé à une condamnation pénale après avoir été accusé d’avoir insulté le président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye. Jugé le mercredi 11 décembre 2024 par le tribunal des flagrants délits de Dakar, il a été relaxé au bénéfice du doute.
Les faits remontent à une discussion survenue dans un point de transfert d’argent à Ouakam, selon Les Echos. Ripert aurait proféré des insultes graves à l’encontre du président, qualifiant ses décisions de « stupides », notamment concernant le projet de rapatrier les éléments de l’armée française. Les déclarations auraient été entendues par le gendarme Alarba Baldé, qui a rapporté les propos insultants et demandé l’intervention des forces de l’ordre. Cependant, un autre témoin, le propriétaire du point de transfert d’argent, n’a pas confirmé les injures.
À la barre, Ripert a nié les accusations d’insultes, tout en admettant avoir critiqué la politique du président en qualifiant son projet de « déconnant ». Il a également affirmé son respect pour le chef de l’État, précisant son attachement au Sénégal, pays où il est né et a grandi.
Le parquet, dans une volonté d’apaisement, a pris en compte les excuses présentées par Ripert et n’a pas requis de peine ferme. L’avocat de la défense, Me Souleymane Soumaré, a plaidé pour une application bienveillante de la loi, mettant en avant l’amour de son client pour le Sénégal et sa vie intégrée dans la société sénégalaise.
Le tribunal a finalement relaxé Ripert Patrice, estimant que les preuves étaient insuffisantes pour une condamnation.
Qu’il retourne en FRANCE s’il n’aime pas la décision PRESIDENT DIOMAYE
Doucement Francky, si la France dégage aussi nos milliers de compatriotes vivant sur son territoire cela priverait des centaines de milliers de familles sénégalaises des transferts d’argents qui leur permettent de vivre dans la dignité, vu que nos régimes successifs ne sont pas fichus capables de créer de la richesse et de protéger les populations vulnérables.
IL FAUT l’expulser
Extrait article Afrique confidentielle : « Les hauts gradés de l’armée ont leur mot à dire. Or, il s’est trouvé que les généraux de l’armée sénégalaise s’opposent à la fermeture des bases militaires françaises. La raison est simple : l’armée sénégalaise développe un partenariat très fécond avec l’armée française en termes de formation, de coopération militaire, et d’échange de renseignements. Les bases militaires françaises comptent des outils techniques qui aident l’armée sénégalaise dans sa lutte contre l’insécurité. L’armée française aide aussi le ministère de la Pêche dans les patrouilles maritimes pour lutter contre la pêche illicite et clandestine. À chaque sortie, ce sont les avions de l’armée française qui sont utilisés pour mener ces patrouilles avec la Direction de la surveillance maritime. Toutes ces patrouilles sont faites aux frais de l’armée française. Les pays africains ont plus à perdre qu’à gagner dans cette fermeture des bases militaires ».
A méditer avant toute décision politicienne populiste. La sécurité et l’intérêt du Sénégal avant tout.
Nous, les Français, nous ne voulons plus voir un seul militaire français hors de France. Cela nous coûte un pognon de dingue et cela ne nous rapporte rien.
L’échange de renseignements entre l’armée dite française et l’armée dite sénégalaise servent à persécuter des opposants scientifiques ou politiques ou religieux ( généralement Africains ), impunément. Ce sont des activtés criminelles.
La Gendarmerie dite sénégalaise a besoin de prouver à FAYE qu’elle le défend pour que ce monsieur défende les gendarmes qui ont ouvert le feu sur des fans de FAYE.
TOUS les étrangers qui vivent au Sénégal depuis plusieurs années sont des retraités ou des drogués ou des Mondialistes-Gauchistes ou des coopérants qui gagnent parfois 7 000 euros par mois ( voir la dernière vidéo YouTube du physicien qui a inventé la physique des armes hypersoniques russes : Jean-Pierre Petit ) ou des BAC – 5.