Siré Sy sur les moments difficiles de sa vie : « Ma mère était condamnée à mort, à Ngay, j’étais coxeur… »

Quand mes parents sont décédés, j’avais entre 14 et 15 ans. Après le décès de ma mère, condamnée à mort, j’ai dû quitter les logements de fonction que nous occupions à Tivaouane. Ce furent des moments douloureux et très difficiles », se souvient Siry Sy, l’analyste politique qui était l’invité de Walfnet, revenant sur son enfance passée entre Tivaouane et Ngaay Pekhé.

Comme mes grands-parents du côté de ma mère étaient de Ngaay Mékhé dans le département de Tivaouane, il était plus simple d’aller là-bas que de partir au Fouta après la mort de ma mère, qui était divorcée de mon père par départ volontaire à ce moment-là.

Il ajoute : « J’étais presque déraillé, mais j’ai été sauvé par un certain Doudou Samb qui m’a réinséré à l’école, à Ngaay Mekhé… Ma mère, très malade, était condamnée à mort. »

Avec d’autres enfants, je sillonnais les marchés « louma ». J’étais même « coxeur de charrette et « guinzman » … »

5 COMMENTAIRES
  • Luisito

    Quelqu’un a compris ce charabia? Moi non.

  • A. Ouattar

    Senego, un peu de sérieux sur ce que vous écrivez.

  • Thiaps

    On sen fou c ton probleme ken ladiou la ca n engage que toi

    • Ben

      Pauvre gamin! Pourquoi tant de haine dans ce votre coeur?? Nourrir la haine pour le malheur des autres, c’est être gravement… endommagé ! Pffffffff,la Haine est bombe qu’on porte en bandoulière côté coeur, quand elle explose, elle détruit d’abord celui qui la porte. Je ne vous le souhaite pas

    • HIPILE HOOLE

      Encore ce PETIT ou encore GRAND CON de Thiaps
      Toujours dans le négatif
      DA NGA FÉBAR TEU BOU GUEUNEU BONE BI NGA YOOR TJI FÉBAR MOY BOROM KHOL AK GUISS GUISS BOU BONE, IGNANE , SOKHOR
      Sincèrement j’aimerais bien savoir qu’elle femme t’a mise au monde parce que c’est sûre qu’elle serait déçu de toi
      DA NGAY NDÉYE DJOU LIGUÉYE BEU SONOU SEU KEUR BAYE DIOUR FA DOOME NGUIR MOU SAGALE KO EULEUK DOOM DJA DOONE WAYOU SEYTANÉ RÉK NDAKH TIOHOR GOU BARI
      *THIAPS* DÉMAL. DÉFARI SEU HOOL BI BEU NOOPI NDAKH HOOLE BOU BOONE TJI ALKOU LEUY DIEUMÉ DOMOU ADAMA

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