Rétro : Adji Sarr – Ousmane Sonko, le feuilleton politico-judiciaire, qui a marqué 2021
Deux mille vingt-un aura été une année particulièrement marquée par la rocambolesque histoire de Adji Sarr, la masseuse qui accuse Ousmane Sonko de « viol avec arme à feu et menace de mort », dont le dossier reste jusqu’à présent pendant devant la justice, faute de procès.
Février 2021
Au début du mois, le Sénégal est secoué par une histoire rocambolesque. Une jeune femme, du nom de Adji Sarr, masseuse de 20 ans, officiant dans un salon de beauté à Dakar, dépose une plainte contre le député Ousmane Sonko. Elle l’accuse de viol et de menaces de mort.
Mars 2021
Le leader du parti Pastef, Sonko nie les faits qui lui sont reprochés et soutient que c’est un complot ourdi par le président Macky Sall. L’assemblée nationale saisie, lève l’immunité du parlementaire contre le soutien de certains collègues qui, contre vents et marées, croient à la bonne foi de l’opposant. Suivront des séries d’émeutes qui paralysent le pays. Au total, 14 morts.
Chronologie des faits
08 Mars
Les partisans de Sonko assiègent la maison de Sonko, pour apporter leur soutien au leader, victime d’une cabale politique
26 février : Levée immunité parlementaire Ousmane Sonko
L’Assemblée nationale vote la levée de l’immunité du député d’opposition visé par une plainte pour viol.
03 Mars
Ousmane Sonko accepte finalement de répondre à la convocation du juge d’instruction, mais malheureusement, des affrontements opposent ses partisans et les forces de l’ordre.
08 Mars : Libération de Ousmane Sonko
Les militants et soutiens ont célébré la remise en liberté du député Ousmane Sonko lundi 8 mars. Visé par une enquête pour viol, il a été libéré sous contrôle judiciaire
12 Mars : L’intervention des religieux
Une rencontre s’était tenue à Dakar, entre les émissaires du Khalife Général des Mourides et une partie de l’opposition, dont Ousmane Sonko, pour dégager des pistes de solutions, pour le retour de la stabilité sociale.
Quelque temps après un retour au calme, Adji Sarr, soutenue par des mouvements féministes et droits de l’homme, sort de son omerta.
Décès du doyen des juges Samba Sall
Son rappel à Dieu, véritable coup de tonnerre avait secoué Thémis. Il avait en charge l’affaire opposant la masseuse Adji Sarr à Ousmane Sonko, accusé de viols répétitifs et menaces de mort. Né à Foundiougne, Samba Sall, était un membre éminent du corps de la magistrature sénégalaise. Il avait hérité dudit dossier après le désistement du juge d’instruction du 8ème Cabinet, Mamadou Seck, qui avait avancé des “raisons familiales”, à l’époque. Le juge Samba Sall, qui avait succédé à Mahawa Sémou Diouf, nommé à la Haute cour de justice de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), est mort à l’âge de 56 ans
Vraiment sonko est trop con ,
y pas à dire
Toute idée aussi bonne soit elle doit toujours tenir compte du contexte et de l histoire
Proposer une monnaie locale et spécifique pour une région qui est en rébellion pour son indépendance c est maladroit ,idiot , dangereux , et forcément indépendiste
Et d autre part demander à 100 000 casamançais de donner 50 000 frs pour seulement ziguinchor c est non seulement du délire mais c est surtout une bêtise sans non
Et franchement quand on aspire à diriger tout un pays on ne tient pas un certain discours qui peut être qualifié de régionaliste , d indépendantiste ou d irrédentiste , c est irresponsable et imbècile
L ambition politique ne doit pas tout permettre quand meme
Kouma saggaa ak yowit