« Que ça plaise ou non… » : la douleur cachée de Halima Gadji…

« Que ça plaise ou non… » : la douleur cachée de Halima Gadji…

Dans un message empreint d’émotion brute et de puissance intérieure, l’actrice Halima Gadji a pris la parole sur ses réseaux sociaux pour adresser un message fort à ceux qui l’ont blessée, trahie ou abandonnée. Un texte qui résonne comme une lettre ouverte, une thérapie publique, mais aussi un acte de libération.

« Vous m’avez vue tomber », écrit-elle. Avec ces mots, Halima Gadji rompt le silence sur les douleurs passées, les moments de solitude, les jugements reçus et les abandons subis. Elle y décrit la douleur invisible, celle qui se vit derrière les sourires et les apparences, cette lutte intérieure qu’aucun regard extérieur ne semble saisir.

La comédienne, connue pour ses rôles forts à l’écran mais aussi pour sa sensibilité à fleur de peau, évoque sans fard ses épreuves : les nuits sans sommeil, les combats silencieux, les erreurs commises, les excès, les silences choisis comme ultimes refuges. Mais derrière ce récit, une constante : l’amour. Celui qu’elle a continué de donner, même lorsqu’elle n’en avait plus la force.

Le ton change progressivement. Ce texte, loin d’être une plainte, devient un manifeste. Celui d’une femme qui a cessé de vouloir plaire, de se justifier, de se taire. « Si je déçois, c’est que je ne joue plus de rôle. Si je change, c’est que je me choisis », écrit-elle, affirmant une volonté de reconstruction profonde, en dehors des regards, des jugements, et des attentes.

À ceux qui l’ont blessée, Halima ne cherche pas la revanche, mais trace une limite claire : « Je ne vous en veux plus. Mais je ne vous laisse plus me toucher. » C’est une manière de dire que le pardon n’est pas synonyme d’oubli, mais d’un choix de paix personnelle.

Ce message, salué par ses nombreux fans, résonne avec force dans une société où les apparences prennent souvent le pas sur les réalités intimes. Halima Gadji offre ici bien plus qu’un témoignage : elle tend une main à toutes celles et ceux qui, comme elle, se relèvent en silence.

Et elle conclut, comme on se relève après la tempête :
« Que ça plaise ou non : je me relèverai. »


Souhaites-tu que je transforme ce texte en

3 COMMENTAIRES
  • mdrrrr

    Mais pourquoi faire ???????? ha ha ha !!!

  • sene

    bayilene bibe texte avec ia mo gueune

  • SENEGAL nDIAYE

    Elle n’a rien a faire ? on s’en fou.

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