Quand la signature du Président contredit sa parole…
La semaine a été marquée par un étonnant bras de fer entre le groupe parlementaire de Benno Bokk Yakaar et l’Exécutif. Après que les députés ont refusé de voter la dissolution de deux conseils, le Président a réagi en supprimant ces institutions, envoyant plusieurs figures politiques au chômage. Le groupe BBY, se sentant renforcé, a ensuite proposé une motion de censure contre le gouvernement, tandis que le Premier ministre a refusé de se présenter devant l’Assemblée pour sa déclaration de politique.
Le Président a demandé à l’Assemblée d’examiner la possibilité de cette déclaration, fixant une date contradictoire pour l’événement. Cela a alimenté les tensions, d’autant plus qu’une dissolution de l’Assemblée a été annoncée pour le 12 septembre 2024. Cette décision, et la confusion qui en résulte, pourrait créer un vide constitutionnel en cas d’empêchement du Président.
Par ailleurs, l’article souligne la montée en puissance de Mimi Touré, qui critique vivement ses anciens coéquipiers politiques. Elle semble prête à dénoncer ceux qu’elle considère comme des profiteurs de l’ancien régime, malgré le fait qu’elle ait elle-même été impliquée dans ce gouvernement pendant plusieurs années.
Des déclarations controversées d’autres membres gouvernementaux, telles que celles du ministre de l’assainissement sur les raisons des inondations, ajoutent à une ambiance politique déjà tendue. L’article se termine par une note humoristique sur une déclaration potentielle de la ministre des Affaires étrangères lors de futurs voyages diplomatiques.
Pétards d anus pour rien
Des arguties d’un nullard essayiste. Insipide zéro ridicule
Un couard qui fait des appels au pied pour se débarrasser du nouveau régime ou tout au moins de leur mettre des bâtons dans les roues.
Un aigri qui a vu toutes ses prévisions échouées et qui risque d’avoir une crise d’apoplexie d’ici 2029 tellement il suinte la haine.
Insignifiant type