Présidence du CNG – Malick Thiandoum: « Être un ancien lutteur ne veut pas dire qu’on peut diriger »

Depuis l’annonce du départ d’Alioune Sarr à la tête du CNG, il y a beaucoup de débat sur son successeur. Et pour certains, l’ancien lutteur Mohamed Ndao Tyson et Kéba Kanté sont pressentis comme probables remplaçants de Alioune Sarr qui a fait 26 ans de règne.

Interrogé sur cette question par Souleymane Niang de la RFM, Malick Thiandoum dresse le portrait du nouveau patron de la lutte.

« Il nous faut un président qui a un esprit d’ouverture qui a le leadership parce que la lutte a une dimension internationale. Et il doit aussi tout faire pour réunir tous les composants de l’arène, car il y a trop de divergences entre les acteurs de la lutte comme le problème des arbitres. Les autres disciplines ne doivent pas être laissées en rade », a-t-il souligné.

Mais selon lui, seule la lutte avec frappe est respectée au Sénégal. « Donc c’est à revoir aussi. Ce n’est pas parce qu’on était lutteur qu’on peut forcément diriger le CNG. Prenons l’exemple du football, est-ce que les anciens joueurs sont devenus des président de fédération de football ? Donc le futur président doit avoir un certain niveau intellectuel pour représenter le Sénégal partout à travers le monde. Et si on regarde bien, l’équipe d’Alioune Sarr est composée d’intellectuels qui ont bac+6, c’est le cas des arbitres », confie le chroniqueur de lutte.

6 COMMENTAIRES
  • malick ndiaye

    Les intellectuels ont bousillé le pays l’équipe de Aliou Sarr n’a rien rapporter à la lutte

  • charles

    Il faut dire tu es pour kebab.
    Mbarane katebi

  • Assane Faye

    cest toujours médecin après la mort. ils mettent l’huile sur le feu,et ils viennent jouer aux pompiers. c’est ça le Sénégal.

  • doupeza

    il faut un président qui peut représenter le Sénégal partout dans le monde comme l’arbitre sitôr Ndour il a le niveau et il connaît le milieu

  • oussou

    Il faut mettre une personne à la place qu’il faut… Nous avons beaucoup d’anciens lutteurs intègres, tels que Tyson, Baboye, Tapha et Yekini… qui peuvent assumer pleinement et honnêtement le rôle de dirigeants de la lutte sénégalaise.
    Laissons la place aux jeunes

  • Badara Gueye

    Me c alioune Sarr q à le premier à suggéré tay son no

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